L’objectif principal de ce projet, c’est de lutter contre la malnutrition et la déforestation par la réintroduction d’espèces en voie de disparition ou presque complètement disparues ou inexistantes dans la zone, a expliqué la DG de l’ANA, Dr Tenning Sène en présence de l’ambassadeur d’Israël au Sénégal, Ben Bourgel.
Selon elle, ce projet va contribuer à matérialiser la vision du Chef de l’Etat sénégalais, le président Macky Sall à travers son programme 5.3.5 ''Ligueyal Euleuk’’, une vision de développement durable, à savoir cinq initiatives majeures, trois programmes sectoriels et cinq accès universels.
‘’Ces mille arbres constitués de manguiers, de goyaviers, de sapotiers, de citronniers, d’orangers, entre autres arbres fruitiers, vont contribuer au PSE vert pour le bien-être social ainsi que la sécurité alimentaire et nutritionnelle car les fruits sont nourrissants et riches en vitamines’’, a fait valoir la directrice générale de l’ANA, précisant que des ombragés tels que le terminalia, le gmelina, le flamboyant, le peltophorum, etc., sont également plantés.
Pour l’ambassadeur d’Israël au Sénégal, ‘’Ndiaganiao et l’Etat d’Israël, à travers son ambassade à Dakar, entretiennent de vieilles relations’’, a souligné Ben Bourgel, selon qui, cette activité de reboisement à laquelle il a pris part entre en droite ligne de la politique du Sénégal dans ce domaine et à laquelle son pays s’associe.
‘’De tout temps, l’arbre et l’homme entretiennent une relation particulière. De tout temps et sous toutes les latitudes, l’arbre a toujours fait l’objet de vénération. Le baobab, symbole de vie et de longévité, évoqué par le grand Léopold Sédar Senghor dans l’un de ses poèmes, n’est-il pas l’arbre emblématique du Sénégal ?’’, a-t-il dit.
Il affirme que les religions louent le ‘’rôle essentiel’’ de l’arbre en général et celui fruitier en particulier, ajoutant que le Coran et les Hadiths soulignent que ‘’quiconque parmi les musulmans plante un arbre fruitier se verra compter une bonne action chaque d’un fruit sera mangé’’, a rapporté Ben Bourgel, soulignant que le Thora aussi interdit d’abattre les arbres fruitiers pendant le siège d’une ville ennemie.
‘’Par la plantation d’arbres et par une politique de reboisement, les nations lutteront contre les effets du réchauffement climatique. Souvent, l’agriculture a été l’une des causes de la déforestation, surtout du fait de la monoculture. Aujourd’hui, on a compris que l’association des cultures et des arbres par l’agroforesterie ne peut qu’être bénéfique à l’homme, à tous !’’, a indiqué M. Bourgel.
Le diplomate israélien pense que les différents arbres fruitiers plantés, dans un avenir proche, contribueront au développement économique local et limiteront l’exode rural et assureront un bien-être aux populations locales.
Serigne Makhtar Fall
Selon elle, ce projet va contribuer à matérialiser la vision du Chef de l’Etat sénégalais, le président Macky Sall à travers son programme 5.3.5 ''Ligueyal Euleuk’’, une vision de développement durable, à savoir cinq initiatives majeures, trois programmes sectoriels et cinq accès universels.
‘’Ces mille arbres constitués de manguiers, de goyaviers, de sapotiers, de citronniers, d’orangers, entre autres arbres fruitiers, vont contribuer au PSE vert pour le bien-être social ainsi que la sécurité alimentaire et nutritionnelle car les fruits sont nourrissants et riches en vitamines’’, a fait valoir la directrice générale de l’ANA, précisant que des ombragés tels que le terminalia, le gmelina, le flamboyant, le peltophorum, etc., sont également plantés.
Pour l’ambassadeur d’Israël au Sénégal, ‘’Ndiaganiao et l’Etat d’Israël, à travers son ambassade à Dakar, entretiennent de vieilles relations’’, a souligné Ben Bourgel, selon qui, cette activité de reboisement à laquelle il a pris part entre en droite ligne de la politique du Sénégal dans ce domaine et à laquelle son pays s’associe.
‘’De tout temps, l’arbre et l’homme entretiennent une relation particulière. De tout temps et sous toutes les latitudes, l’arbre a toujours fait l’objet de vénération. Le baobab, symbole de vie et de longévité, évoqué par le grand Léopold Sédar Senghor dans l’un de ses poèmes, n’est-il pas l’arbre emblématique du Sénégal ?’’, a-t-il dit.
Il affirme que les religions louent le ‘’rôle essentiel’’ de l’arbre en général et celui fruitier en particulier, ajoutant que le Coran et les Hadiths soulignent que ‘’quiconque parmi les musulmans plante un arbre fruitier se verra compter une bonne action chaque d’un fruit sera mangé’’, a rapporté Ben Bourgel, soulignant que le Thora aussi interdit d’abattre les arbres fruitiers pendant le siège d’une ville ennemie.
‘’Par la plantation d’arbres et par une politique de reboisement, les nations lutteront contre les effets du réchauffement climatique. Souvent, l’agriculture a été l’une des causes de la déforestation, surtout du fait de la monoculture. Aujourd’hui, on a compris que l’association des cultures et des arbres par l’agroforesterie ne peut qu’être bénéfique à l’homme, à tous !’’, a indiqué M. Bourgel.
Le diplomate israélien pense que les différents arbres fruitiers plantés, dans un avenir proche, contribueront au développement économique local et limiteront l’exode rural et assureront un bien-être aux populations locales.
Serigne Makhtar Fall