«Garder intacte la qualité de nos finances publiques et maintenir la dynamique de croissance de notre pays imposent la mise en œuvre de réformes. Ainsi, dans la cadre de la mise en œuvre du Plan d’actions prioritaires de la deuxième phase du Plan Sénégal émergent,(2019-2023), l’objectif pour cette année nouvelle pour le Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan est de promouvoir un secteur privé créateur de richesses et d’emplois, moteur de la croissance économique ». C’est en ces termes que s’est exprimé ce lundi Amadou Ba, lors de la cérémonie de présentation de vœux de son département ministériel.
Selon lui, pour y parvenir, des réformes structurelles sont à mettre en œuvre, dans les meilleurs délais, pour élargir la base productive de l’économie et améliorer la compétitivité et l’attractivité du Sénégal. M. Ba affirme qu’afin de libérer le potentiel de croissance et d’attirer davantage d’investissements privés, les réformes porteront principalement sur la fiscalité et l’administration publique.
C’est pourquoi, en 2019, il voudrait exhorter ses agents à inscrire vos actions pour leur matérialisation, en mettant un accent particulier sur les axes suivants.
Le premier axe concerne la fiscalité. Il s’agira de réformes portant la politique fiscale et sur l’administration fiscale lesquelles s’inscrivent dans le cadre des mutations structurelles de notre économie, pour une mobilisation efficiente des ressources internes. Il s’y ajoute à son avis, la nécessaire réforme de la politique fiscale dans le secteur agricole, afin de compenser les pertes de recettes douanières et maintenir la dynamique de croissance du secteur. Amadou Ba informe que la rationalisation des dépenses fiscales liées aux investissements est également un des chantiers de l’année nouvelle.
Dans la même perspective, poursuit le ministre des Finances, il nous importe de procéder à une rationalisation de la fiscalité des entreprises de télécommunications ainsi que de celle du secteur informel en poursuivant les efforts de simplification de la législation afin de la rendre plus accessible. Il a salué la prise en compte de cette exigence de simplification et de meilleure intelligibilité de la loi fiscale dans les modifications apportées au Code général des Impôts en 2018.
Toutefois, fait remarquer Amadou Ba, les défis à relever en vue de la réforme de la politique fiscale restent importants. C’est la raison pour laquelle, il exhorter les agents à une meilleure maitrise de l’assiette et à son élargissement, à l’amélioration de la qualité des services rendus aux usagers et le respect des délais de traitement des requêtes.
Adou FAYE
Selon lui, pour y parvenir, des réformes structurelles sont à mettre en œuvre, dans les meilleurs délais, pour élargir la base productive de l’économie et améliorer la compétitivité et l’attractivité du Sénégal. M. Ba affirme qu’afin de libérer le potentiel de croissance et d’attirer davantage d’investissements privés, les réformes porteront principalement sur la fiscalité et l’administration publique.
C’est pourquoi, en 2019, il voudrait exhorter ses agents à inscrire vos actions pour leur matérialisation, en mettant un accent particulier sur les axes suivants.
Le premier axe concerne la fiscalité. Il s’agira de réformes portant la politique fiscale et sur l’administration fiscale lesquelles s’inscrivent dans le cadre des mutations structurelles de notre économie, pour une mobilisation efficiente des ressources internes. Il s’y ajoute à son avis, la nécessaire réforme de la politique fiscale dans le secteur agricole, afin de compenser les pertes de recettes douanières et maintenir la dynamique de croissance du secteur. Amadou Ba informe que la rationalisation des dépenses fiscales liées aux investissements est également un des chantiers de l’année nouvelle.
Dans la même perspective, poursuit le ministre des Finances, il nous importe de procéder à une rationalisation de la fiscalité des entreprises de télécommunications ainsi que de celle du secteur informel en poursuivant les efforts de simplification de la législation afin de la rendre plus accessible. Il a salué la prise en compte de cette exigence de simplification et de meilleure intelligibilité de la loi fiscale dans les modifications apportées au Code général des Impôts en 2018.
Toutefois, fait remarquer Amadou Ba, les défis à relever en vue de la réforme de la politique fiscale restent importants. C’est la raison pour laquelle, il exhorter les agents à une meilleure maitrise de l’assiette et à son élargissement, à l’amélioration de la qualité des services rendus aux usagers et le respect des délais de traitement des requêtes.
Adou FAYE