Cette orientation reflète la progression des dépenses courantes, notamment les intérêts sur la dette, la masse salariale, les autres dépenses de fonctionnement, contrebalancée par la contraction des dépenses d’investissements. En effet, les charges d’intérêts sur la dette et la masse salariale se sont accrues respectivement de 12,1% et 12,2% pour atteindre 245,7 milliards et 623,7 milliards, en rapport avec l’apurement des rappels et la charge des intérêts des différents emprunts.
De même, les autres dépenses de fonctionnement (fournitures, entretien, transferts et subventions), évaluées à 804,7 milliards, se sont confortées de 18,5% comparativement à la même période de l’année 2017. En revanche, les dépenses en capital se sont contractées de 3,8% à fin novembre pour s’établir à 987,5 milliards. Ce recul est notamment perceptible à travers les investissements financés sur ressources internes qui ont baissé de 9,0% pour se situer 547,9 milliards. Pour leur part, les investissements financés sur ressources externes (439,6 milliards) ont progressé de 3,8%.
Pathé TOURE
De même, les autres dépenses de fonctionnement (fournitures, entretien, transferts et subventions), évaluées à 804,7 milliards, se sont confortées de 18,5% comparativement à la même période de l’année 2017. En revanche, les dépenses en capital se sont contractées de 3,8% à fin novembre pour s’établir à 987,5 milliards. Ce recul est notamment perceptible à travers les investissements financés sur ressources internes qui ont baissé de 9,0% pour se situer 547,9 milliards. Pour leur part, les investissements financés sur ressources externes (439,6 milliards) ont progressé de 3,8%.
Pathé TOURE