Selon un communiqué de presse, les échanges se sont centrés sur le développement du gaz naturel du pays et les stratégies de monétisation, la position du Sénégal dans
la transition énergétique, comment attirer des investissements et favoriser un mix énergétique équilibré.
«Sous le gouvernement du Président Macky Sall, le Sénégal est connu pour avoir favorisé un mix énergétique équilibré et la promotion du secteur de l’énergie, à travers l’extension de son réseau électrique et de son parc industriel. Les leaders du pays comprennent que dans un contexte de transition énergétique, le Sénégal et les pays occidentaux vivent deux réalités différentes et nous devons travailler ensemble afin de trouver une solution équilibrée visant à atteindre nos objectifs communs », affirme NJ Ayuk, directeur exécutif de Aec.
Selon lui, en tant que producteur de gaz émergent, le Sénégal a été proactif dans la création d’un mix énergétique diversifié et plus propre, qui unit des plans ambitieux d’expansion du gaz à un développement de grande échelle de l’énergie renouvelable, afin de faciliter la transition énergétique et d’atteindre une sécurité énergétique pour le long terme.
Aec a également invité les dirigeants du secteur de l’énergie du Sénégal à participer au prochain événement de la Chambre sur l’industrie qui aura lieu au Cap, en Afrique du sud, nommé African Energy Week, qui rassemblera l’élite de l’énergie du continent du 9 au 12 novembre 2021, pour une première conférence de cette envergure.
« Aec continuera de travailler afin d’encourager le Sénégal dans ses diverses initiatives destinées à attirer des investissements dans le pays et offre une plateforme comme African energy week pour que les responsables sénégalais et les entreprises locales puissent se promouvoir eux-mêmes » ajoute Ayuk.
Depuis la découverte de plus de 450 milliards de mètres cubes de gaz en 2016, le flux d’investissement direct étranger a cru dans les réserves gazières offshore du Sénégal, incluant notamment les 4.8 milliards de dollars destinés au développement de Greater Tortue Ahmeyim, dirigé par BP et Kosmos Energy. La monétisation du gaz est devenue un élément clef de la reprise post-Covid-19 du pays, dont on attend de voir une croissance à deux chiffres aussi importante que 13.7%, grâce à la première production de gaz en 2023.
Adou FAYE
la transition énergétique, comment attirer des investissements et favoriser un mix énergétique équilibré.
«Sous le gouvernement du Président Macky Sall, le Sénégal est connu pour avoir favorisé un mix énergétique équilibré et la promotion du secteur de l’énergie, à travers l’extension de son réseau électrique et de son parc industriel. Les leaders du pays comprennent que dans un contexte de transition énergétique, le Sénégal et les pays occidentaux vivent deux réalités différentes et nous devons travailler ensemble afin de trouver une solution équilibrée visant à atteindre nos objectifs communs », affirme NJ Ayuk, directeur exécutif de Aec.
Selon lui, en tant que producteur de gaz émergent, le Sénégal a été proactif dans la création d’un mix énergétique diversifié et plus propre, qui unit des plans ambitieux d’expansion du gaz à un développement de grande échelle de l’énergie renouvelable, afin de faciliter la transition énergétique et d’atteindre une sécurité énergétique pour le long terme.
Aec a également invité les dirigeants du secteur de l’énergie du Sénégal à participer au prochain événement de la Chambre sur l’industrie qui aura lieu au Cap, en Afrique du sud, nommé African Energy Week, qui rassemblera l’élite de l’énergie du continent du 9 au 12 novembre 2021, pour une première conférence de cette envergure.
« Aec continuera de travailler afin d’encourager le Sénégal dans ses diverses initiatives destinées à attirer des investissements dans le pays et offre une plateforme comme African energy week pour que les responsables sénégalais et les entreprises locales puissent se promouvoir eux-mêmes » ajoute Ayuk.
Depuis la découverte de plus de 450 milliards de mètres cubes de gaz en 2016, le flux d’investissement direct étranger a cru dans les réserves gazières offshore du Sénégal, incluant notamment les 4.8 milliards de dollars destinés au développement de Greater Tortue Ahmeyim, dirigé par BP et Kosmos Energy. La monétisation du gaz est devenue un élément clef de la reprise post-Covid-19 du pays, dont on attend de voir une croissance à deux chiffres aussi importante que 13.7%, grâce à la première production de gaz en 2023.
Adou FAYE