Dans son éditorial, Ismael Aidara souligne qu’après la bourrasque de l’insurrection populaire du 30 octobre 2014 qui a balayé le «puissant» Blaise Compaoré, il est temps d’aller vers une étape supérieure. Le temps presse en quelque sorte.
En effet, forcé à l’exil, l’ancien président a laissé derrière lui un palais fantôme. Le nouveau locataire de Kosyam, démine les quartiers. Il a les cartes en main. Voilà trois ans maintenant. Plus qu’un simple blanc-seing que lui a délivré le peuple, Marc Christian Kaboré, était perçu comme l’anesthésiste du chaos.
L’économie aux mains d’une oligarchie familiale d’alors est remise sur les rails. Le régime Kaboré s’y emploie. Le curseur se pose sur le pari du développement, note Confidentiel Afrique.
En dehors du bilan du régime Kaboré, Confidentiel Afrique fait une immersion dans l'écosystème financier et économique du Burkina.
Adou FAYE
En effet, forcé à l’exil, l’ancien président a laissé derrière lui un palais fantôme. Le nouveau locataire de Kosyam, démine les quartiers. Il a les cartes en main. Voilà trois ans maintenant. Plus qu’un simple blanc-seing que lui a délivré le peuple, Marc Christian Kaboré, était perçu comme l’anesthésiste du chaos.
L’économie aux mains d’une oligarchie familiale d’alors est remise sur les rails. Le régime Kaboré s’y emploie. Le curseur se pose sur le pari du développement, note Confidentiel Afrique.
En dehors du bilan du régime Kaboré, Confidentiel Afrique fait une immersion dans l'écosystème financier et économique du Burkina.
Adou FAYE