Selon un communiqué de presse, cette hausse du taux d’emploi a été observée dans plus des quatre cinquièmes des pays de l’Ocde. Le taux d’activité de la Zone Ocde (qui désigne la proportion des personnes en âge de travailler qui sont en emploi ou au chômage) a également augmenté pour atteindre 72.2%, après 71.8% au premier trimestre. Le taux d’emploi de la Zone Ocde a globalement augmenté au même rythme pour les femmes (à 60.1%, après 59.6% au premier trimestre) et les hommes (à 74.7%, après 74.3%).
En revanche, il a augmenté plus rapidement pour les jeunes (15 à 24 ans) (à 40.8%, après 39.9%) que pour les autres classes d’âge.
Si la hausse de l’emploi au deuxième trimestre suggère un retour progressif vers les taux d’avant la pandémie, il convient d’interpréter avec prudence les derniers taux d’emploi de la Zone Ocde.
Des changements méthodologiques apportés à l’enquête emploi affectent la comparaison entre le quatrième trimestre 2020 et les trimestres suivants pour les pays de l’Union européenne. De plus, une grande part de la hausse observée au troisième trimestre et, dans une moindre mesure, au quatrième trimestre 2020, reflète le retour au travail de travailleurs au chômage partiel au Canada et aux États-Unis, où ils sont enregistrés comme étant au chômage, alors qu’ils sont enregistrés comme étant en emploi dans la plupart des autres pays, notamment dans l’Union européenne.
Dans la Zone Euro, le taux d’emploi a augmenté pour atteindre 67.6% au deuxième trimestre, après 67.0% au premier trimestre. Des hausses d’un point de pourcentage ou plus ont été enregistrées dans environ la moitié des pays, certaines dépassant même les deux points, comme en Grèce (56.4%) et en Slovénie (71.7%). En revanche, une baisse notable du taux d’emploi a été observée en Estonie (72.9% après 74.1%).
Le taux d’emploi a augmenté de 0.4 point de pourcentage au Royaume-Uni (où il atteint 75,1%) et de plus d’un point au Danemark (75.4%), en Islande (79.3%) et en Norvège (75.9%). En revanche, il a diminué de 0.6 point en Suisse (78.6%).
Adou FAYE
En revanche, il a augmenté plus rapidement pour les jeunes (15 à 24 ans) (à 40.8%, après 39.9%) que pour les autres classes d’âge.
Si la hausse de l’emploi au deuxième trimestre suggère un retour progressif vers les taux d’avant la pandémie, il convient d’interpréter avec prudence les derniers taux d’emploi de la Zone Ocde.
Des changements méthodologiques apportés à l’enquête emploi affectent la comparaison entre le quatrième trimestre 2020 et les trimestres suivants pour les pays de l’Union européenne. De plus, une grande part de la hausse observée au troisième trimestre et, dans une moindre mesure, au quatrième trimestre 2020, reflète le retour au travail de travailleurs au chômage partiel au Canada et aux États-Unis, où ils sont enregistrés comme étant au chômage, alors qu’ils sont enregistrés comme étant en emploi dans la plupart des autres pays, notamment dans l’Union européenne.
Dans la Zone Euro, le taux d’emploi a augmenté pour atteindre 67.6% au deuxième trimestre, après 67.0% au premier trimestre. Des hausses d’un point de pourcentage ou plus ont été enregistrées dans environ la moitié des pays, certaines dépassant même les deux points, comme en Grèce (56.4%) et en Slovénie (71.7%). En revanche, une baisse notable du taux d’emploi a été observée en Estonie (72.9% après 74.1%).
Le taux d’emploi a augmenté de 0.4 point de pourcentage au Royaume-Uni (où il atteint 75,1%) et de plus d’un point au Danemark (75.4%), en Islande (79.3%) et en Norvège (75.9%). En revanche, il a diminué de 0.6 point en Suisse (78.6%).
Adou FAYE