Selon lui, ce n’est pas parce qu’on va avoir du pétrole et du gaz que chacun va demander le doublement de son salaire. Les syndicats vont déposer des préavis. « Ce n’est pas parce que l’on va commencer l’exploitation du pétrole et du gaz que chacun va demander le dédoublement de son salaire. Des syndicats vont poser des préavis. Ce n’est pas du tout ce qui est prévu. Il faut bien le comprendre.
Ces ressources, d’abord, ne nous appartiennent pas seuls, mais l’impact que l’on en tirera va améliorer le profil économique du pays, mais ça ne sera pas certainement pas pour aller acheter des équipes de football ailleurs ou pour distribuer de l’argent comme ça et augmenter des revenus des travailleurs. Il faudrait bien mettre ça dans la tête des gens », a dit M. Sall.
Il renseigne que les ressources serviront à accompagner les secteurs productifs comme l’agriculture, l’élevage, l’éducation, la santé. Les ressources, ajoute-t-il, devront aider à bâtir une économie diversifiée et apte à répondre aux aspirations légitimes du peuple à mieux vivre et léguer un Sénégal meilleur aux générations futures.
Le président de la République a ajouté que le pétrole produit à Sangomar sera en partie raffiné au Sénégal. « À terme nous voulons atteindre l’objectif d’investir dans les capacités de la Sar, détenus à 46%, et qui va passer à 49%, afin qu’elle puisse traiter notre propre pétrole, celui de Sangomar », a indiqué Macky Sall jugeant paradoxale de produire du pétrole et de l’envoyer dans d’autres raffineries, parce que, la nôtre n’a pas les capacités de traiter le brut produit chez nous.
Selon le directeur général de Petrosen Holding, le Sénégal compte aujourd’hui trois projets principaux dans le pétrole et le gaz. Ce qui selon Mamadou Faye va engendrer dès le démarrage de la production, 700 milliards de FCfa par année. Sa présentation, lors d’un conseil présidentiel sur la répartition des revenus issus du Pétrole et du Gaz, montre que c’est au total, a révélé M. Faye, c’est un total de 20.790 milliards de FCfa qui sont attendus pour les 30 prochaines années. Adou FAYE
Ces ressources, d’abord, ne nous appartiennent pas seuls, mais l’impact que l’on en tirera va améliorer le profil économique du pays, mais ça ne sera pas certainement pas pour aller acheter des équipes de football ailleurs ou pour distribuer de l’argent comme ça et augmenter des revenus des travailleurs. Il faudrait bien mettre ça dans la tête des gens », a dit M. Sall.
Il renseigne que les ressources serviront à accompagner les secteurs productifs comme l’agriculture, l’élevage, l’éducation, la santé. Les ressources, ajoute-t-il, devront aider à bâtir une économie diversifiée et apte à répondre aux aspirations légitimes du peuple à mieux vivre et léguer un Sénégal meilleur aux générations futures.
Le président de la République a ajouté que le pétrole produit à Sangomar sera en partie raffiné au Sénégal. « À terme nous voulons atteindre l’objectif d’investir dans les capacités de la Sar, détenus à 46%, et qui va passer à 49%, afin qu’elle puisse traiter notre propre pétrole, celui de Sangomar », a indiqué Macky Sall jugeant paradoxale de produire du pétrole et de l’envoyer dans d’autres raffineries, parce que, la nôtre n’a pas les capacités de traiter le brut produit chez nous.
Selon le directeur général de Petrosen Holding, le Sénégal compte aujourd’hui trois projets principaux dans le pétrole et le gaz. Ce qui selon Mamadou Faye va engendrer dès le démarrage de la production, 700 milliards de FCfa par année. Sa présentation, lors d’un conseil présidentiel sur la répartition des revenus issus du Pétrole et du Gaz, montre que c’est au total, a révélé M. Faye, c’est un total de 20.790 milliards de FCfa qui sont attendus pour les 30 prochaines années. Adou FAYE