Un leadership d’ailleurs exporté en Mauritanie, après la Gambie et la Guinée. En effet, le Réseau des femmes entrepreneures sénégalo-gambiennes, grâce au leadership de ses membres, a été invité à participer à cette rencontre annuelle de haute facture qui regroupe d’éminentes personnalités des secteurs économique et financière d’Afrique et d’ailleurs.
Ce réseau crée en 2017 avec la vice-présidente Fatoumata Diallo (Gambienne) et dont le siège se trouve à Kaolack visait, selon sa présidente Seyda Oumoul Fayda Moussoukro MBAYE, à regrouper les femmes sénégalaises et gambiennes dans le but de favoriser l’intégration économique, sociale et culturelle entre les deux pays.
Les femmes du réseau s’activent, d’après leur présidente, dans plusieurs secteurs tels que l’agriculture, le micro-jardinage, la transformation des produits agricoles locaux, la fabrication de l’eau de javel, du savon etc. Cela, soutient-elle dans la foulée, vise à favoriser le « Produire et le consommer local », tant chanté par le président de la République Macky Sall.
Par ailleurs Pdg des Etablissements Moussoukro MBAYE, Mme MBAYE indique que ce réseau qui avait vu le jour avec onze (11) sénégalaises et onze gambiennes, comptait lors de leur dernier recensement en 2019, 3600 membres. « Ce nombre est dépassé aujourd’hui », précise-t-elle.
A l’en croire, le réseau qui regroupe des femmes entrepreneures est aujourd’hui, en dehors de la Gambie et du Sénégal, présent au Maroc, en Tunisie, Guinée, en Algérie, à Niamey etc… « Nous travaillons dans plusieurs domaines d’activité. Nous aidons et accompagnons les femmes notamment dans leur autonomisation, leur financement et leur renforcement de capacités avec des partenaires comme la Der/Fj, le 3Fpt, le Fonsis etc », confie la dame, tout de blanc vêtu.
En dehors de leurs activités économiques, Mme MBAYE signale qu’elles œuvrent pour lutter contre un phénomène qui favorise l’abandon précoce des études au niveau des filles en âge de puberté. Il s’agit, selon elle, de la qualité des toilettes au niveau des écoles. Parce que souligne, Mme. MBAYE, au moment de voir leurs règles, les filles préfèrent rester chez-elles et ne pas aller à l’école du fait des toilettes qui ne sont pas accueillantes à cause de la saleté.
« Les gens oublient toujours cet aspect qui contribue malheureusement à la déperdition scolaire chez les filles », relève le leader du Réseau des femmes entrepreneures sénégalo-gambiennes. C’est pourquoi, dit-elle, nous travaillons activement sur un projet visant à favoriser le maintien des filles mais aussi des garçons à l’école.
Bassirou MBAYE, envoyé spécial à Nouakchott
Ce réseau crée en 2017 avec la vice-présidente Fatoumata Diallo (Gambienne) et dont le siège se trouve à Kaolack visait, selon sa présidente Seyda Oumoul Fayda Moussoukro MBAYE, à regrouper les femmes sénégalaises et gambiennes dans le but de favoriser l’intégration économique, sociale et culturelle entre les deux pays.
Les femmes du réseau s’activent, d’après leur présidente, dans plusieurs secteurs tels que l’agriculture, le micro-jardinage, la transformation des produits agricoles locaux, la fabrication de l’eau de javel, du savon etc. Cela, soutient-elle dans la foulée, vise à favoriser le « Produire et le consommer local », tant chanté par le président de la République Macky Sall.
Par ailleurs Pdg des Etablissements Moussoukro MBAYE, Mme MBAYE indique que ce réseau qui avait vu le jour avec onze (11) sénégalaises et onze gambiennes, comptait lors de leur dernier recensement en 2019, 3600 membres. « Ce nombre est dépassé aujourd’hui », précise-t-elle.
A l’en croire, le réseau qui regroupe des femmes entrepreneures est aujourd’hui, en dehors de la Gambie et du Sénégal, présent au Maroc, en Tunisie, Guinée, en Algérie, à Niamey etc… « Nous travaillons dans plusieurs domaines d’activité. Nous aidons et accompagnons les femmes notamment dans leur autonomisation, leur financement et leur renforcement de capacités avec des partenaires comme la Der/Fj, le 3Fpt, le Fonsis etc », confie la dame, tout de blanc vêtu.
En dehors de leurs activités économiques, Mme MBAYE signale qu’elles œuvrent pour lutter contre un phénomène qui favorise l’abandon précoce des études au niveau des filles en âge de puberté. Il s’agit, selon elle, de la qualité des toilettes au niveau des écoles. Parce que souligne, Mme. MBAYE, au moment de voir leurs règles, les filles préfèrent rester chez-elles et ne pas aller à l’école du fait des toilettes qui ne sont pas accueillantes à cause de la saleté.
« Les gens oublient toujours cet aspect qui contribue malheureusement à la déperdition scolaire chez les filles », relève le leader du Réseau des femmes entrepreneures sénégalo-gambiennes. C’est pourquoi, dit-elle, nous travaillons activement sur un projet visant à favoriser le maintien des filles mais aussi des garçons à l’école.
Bassirou MBAYE, envoyé spécial à Nouakchott