Selon le ministre, il faut permettre de manière durable à chaque Sénégalais et Sénégalaise de s’acquitter de son devoir religieux dans les meilleures conditions d’accessibilité et de qualité des moutons à des prix abordables.
Il s’est engagé à toujours privilégier la concertation pour réunir toutes les conditions d’une bonne organisation de la Tabaski. Il a souligné que notre pays fait encore face à un déficit structurel en moutons et continue de dépendre en partie de l’apport des pays voisins pour la satisfaction de nos besoins. Pour résorber durablement ce gap, explique-t-il, un Programme national d’autosuffisance en moutons a été élaboré dans les actions prioritaires du Pse en plus du Projet d’appui aux filières animales qui doivent contribuer à l’atteinte de cet objectif.
Ces initiatives visent à promouvoir la filière des petits ruminants afin d’accroître l’offre nationale en moutons notamment en période de Tabaski.
Selon lui, les succès enregistrés lors de l’édition précédente ainsi que les difficultés rencontrées tout le long du processus devront être examinés pour mieux préparer la Tabaski 2019. Dans leurs interventions, les éleveurs ont fait état du manque de points de vente surtout à Dakar et Thiès, de l’approvisionnement en eau, de la sécurité, des toilettes et de l’état des foirails en général. Ils souhaitent aussi une baisse du prix des aliments de bétail.
Adou FAYE
Il s’est engagé à toujours privilégier la concertation pour réunir toutes les conditions d’une bonne organisation de la Tabaski. Il a souligné que notre pays fait encore face à un déficit structurel en moutons et continue de dépendre en partie de l’apport des pays voisins pour la satisfaction de nos besoins. Pour résorber durablement ce gap, explique-t-il, un Programme national d’autosuffisance en moutons a été élaboré dans les actions prioritaires du Pse en plus du Projet d’appui aux filières animales qui doivent contribuer à l’atteinte de cet objectif.
Ces initiatives visent à promouvoir la filière des petits ruminants afin d’accroître l’offre nationale en moutons notamment en période de Tabaski.
Selon lui, les succès enregistrés lors de l’édition précédente ainsi que les difficultés rencontrées tout le long du processus devront être examinés pour mieux préparer la Tabaski 2019. Dans leurs interventions, les éleveurs ont fait état du manque de points de vente surtout à Dakar et Thiès, de l’approvisionnement en eau, de la sécurité, des toilettes et de l’état des foirails en général. Ils souhaitent aussi une baisse du prix des aliments de bétail.
Adou FAYE