Ce rapport intitulé 'Violence et harcèlement à l'école : Rapport sur la situation dans le monde', a été présenté mardi lors d'un colloque à Séoul, en Corée du Sud, par l'UNESCO et l'Institut de prévention de la violence scolaire de l'Université féminine Ewha, basée à Séoul.
«La violence et le harcèlement à l'école constituent une violation grave du droit à l'éducation», a déclaré la Directrice générale de l'UNESCO, Irina Bokova. « Ce colloque et ce rapport s'inscrivent dans le cadre des efforts de l'UNESCO pour faire en sorte que les écoles et les autres lieux d'apprentissage soient sûrs pour tous ».
La violence et le harcèlement à l'école, qu'il s'agisse du harcèlement physique, psychologique ou sexuel, ont un impact négatif démontré sur l'apprentissage des élèves ainsi que sur leur santé mentale et émotionnelle. Plusieurs études, citées dans un rapport récent de l'UNESCO, montrent que les enfants et les jeunes qui sont victimes de harcèlement homophobe présentent un risque accru de stress, d'anxiété, de dépression, d'estime de soi dégradée, de marginalisation, d'autodestruction et de pensées suicidaires.
Le Rapport sur la situation dans le monde montre que la violence à l'école naît de rapports de force inégaux souvent renforcés par des stéréotypes et des normes liées au genre, l'orientation sexuelle ainsi que d'autres facteurs qui contribuent à la marginalisation tels que la pauvreté, l'identité ethnique, ou encore la langue.
Pathé TOURE
«La violence et le harcèlement à l'école constituent une violation grave du droit à l'éducation», a déclaré la Directrice générale de l'UNESCO, Irina Bokova. « Ce colloque et ce rapport s'inscrivent dans le cadre des efforts de l'UNESCO pour faire en sorte que les écoles et les autres lieux d'apprentissage soient sûrs pour tous ».
La violence et le harcèlement à l'école, qu'il s'agisse du harcèlement physique, psychologique ou sexuel, ont un impact négatif démontré sur l'apprentissage des élèves ainsi que sur leur santé mentale et émotionnelle. Plusieurs études, citées dans un rapport récent de l'UNESCO, montrent que les enfants et les jeunes qui sont victimes de harcèlement homophobe présentent un risque accru de stress, d'anxiété, de dépression, d'estime de soi dégradée, de marginalisation, d'autodestruction et de pensées suicidaires.
Le Rapport sur la situation dans le monde montre que la violence à l'école naît de rapports de force inégaux souvent renforcés par des stéréotypes et des normes liées au genre, l'orientation sexuelle ainsi que d'autres facteurs qui contribuent à la marginalisation tels que la pauvreté, l'identité ethnique, ou encore la langue.
Pathé TOURE