«Cette incidence est le fait des opérations de transfert et des retraits de billets qui ont eu respectivement des effets baissiers de 377,6 milliards et 228,0 milliards. Le solde des opérations des banques avec les Trésors et des autres facteurs nets a, pour sa part, compensé partiellement cette détérioration de la liquidité bancaire à hauteur de 346,6 milliards », explique la Bceao.
Durant la même période, ajoute l’institution, le refinancement accordé par la Bceao aux banques de l’Uemoa a augmenté de 85,3 milliards de fcfa. En conséquence, la liquidité bancaire s’est détériorée de 137,7 milliards de fcfa d’un mois à l’autre. Selon la Bceao, l’examen de la constitution des réserves obligatoires par les banques pendant la période allant du 16 février 2024au 15 mars 2024 révèle un excédent par rapport au niveau des réserves requises. Les réserves excédentaires des banques se sont élevées à 1189 ;7 milliards, représentant ainsi 96,5% des réserves requises contre 1352,1 milliards (112,3% des réserves obligatoires sur la période précédente).
Adou FAYE
Durant la même période, ajoute l’institution, le refinancement accordé par la Bceao aux banques de l’Uemoa a augmenté de 85,3 milliards de fcfa. En conséquence, la liquidité bancaire s’est détériorée de 137,7 milliards de fcfa d’un mois à l’autre. Selon la Bceao, l’examen de la constitution des réserves obligatoires par les banques pendant la période allant du 16 février 2024au 15 mars 2024 révèle un excédent par rapport au niveau des réserves requises. Les réserves excédentaires des banques se sont élevées à 1189 ;7 milliards, représentant ainsi 96,5% des réserves requises contre 1352,1 milliards (112,3% des réserves obligatoires sur la période précédente).
Adou FAYE