En effet, les experts qui se sont réunis autour d’un panel à Charm el-Cheikh(Égypte) ont indiqué que « réformer l’offre de formation et le marché du travail» est plus qu’une nécessité pour, arguent-ils, « offrir plus d’opportunités aux jeunes africains ».
Car, soutiennent-ils, les chiffres du chômage en Afrique, ainsi que la faible capacité des économies africaines à offrir des emplois sont alarmants. Par conséquent, relèvent les participants, il faut identifier les besoins du marché du travail et restructurer les économies africaines.
En fait, « le taux de chômage en Afrique s’élève à 11,9%. Pis, 37,7% des personnes disposant d’un emploi dans le continent africain, survivent avec une rémunération insignifiante », argue Haroon Bhorat, professeur d’économie et directeur de l’unité de recherches sur les politiques de développement à l’université de Cape Town.
Bassirou MBAYE
Car, soutiennent-ils, les chiffres du chômage en Afrique, ainsi que la faible capacité des économies africaines à offrir des emplois sont alarmants. Par conséquent, relèvent les participants, il faut identifier les besoins du marché du travail et restructurer les économies africaines.
En fait, « le taux de chômage en Afrique s’élève à 11,9%. Pis, 37,7% des personnes disposant d’un emploi dans le continent africain, survivent avec une rémunération insignifiante », argue Haroon Bhorat, professeur d’économie et directeur de l’unité de recherches sur les politiques de développement à l’université de Cape Town.
Bassirou MBAYE