Au regard de l’évolution de l’environnement international et de la conjoncture intérieure, l’activité économique devrait ralentir en 2019.
Globalement, explique la Dpee, le taux de croissance du Pib réel est prévu à 6,0%, contre 6,7% en 2018. Ce ralentissement est expliqué par l’évolution au niveau de certaines branches d’activité, notamment, les extractives, la construction, le transport, les services d’hébergement et de restauration et les « activités spécialisées, scientifiques et techniques ».
En 2019, l’activité dans le secteur primaire resterait dynamique, sous l’impulsion des sous-secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche. Ainsi, l’activité est attendue en progression de 7,2% contre 7,9% en 2018, soit un ralentissement de 0,7 point de pourcentage.
Dans le secteur secondaire, il est attendu un renforcement des activités, en liaison, notamment, avec la vigueur de la construction en phase avec l’exécution d’importants projets structurants inscrits dans la phase II du Pse mais aussi l’amélioration de l’offre d’énergie attendue à travers le programme Millenium challenge Corporation .
Globalement, le secteur secondaire est projeté en hausse de 6,0% en 2019, contre une estimation de 6,9% en 2018. La croissance du secteur secondaire serait soutenue, singulièrement, par les activités extractives, la fabrication de produits agro-alimentaires, les matériaux de construction et les BTP et la fabrication de produits chimiques.
En 2019, l’activité du secteur tertiaire devrait rester vigoureuse. La croissance dudit secteur ressortirait à 5,3%, soit une décélération de 1 point de pourcentage par rapport à 2018. Cette orientation favorable reflèterait, principalement, la bonne tenue des activités de commerce, de transports, financières et immobilières, en sus, de la bonne tenue attendue dans les télécommunications et les services d’hébergement et de restauration.
Les activités commerciales se conforteraient, en 2019, profitant de la bonne tenue de la demande, mais également du dynamisme de l’offre à la faveur du renforcement de la production agricole et de l’élevage et de la vigueur attendue du secteur industriel. Ainsi, l’activité du commerce est projetée en hausse de 5,0% en 2019, soit un ralentissement de 0,2 point de pourcentage par rapport à l’année précédente.
Oumar Nourou
Globalement, explique la Dpee, le taux de croissance du Pib réel est prévu à 6,0%, contre 6,7% en 2018. Ce ralentissement est expliqué par l’évolution au niveau de certaines branches d’activité, notamment, les extractives, la construction, le transport, les services d’hébergement et de restauration et les « activités spécialisées, scientifiques et techniques ».
En 2019, l’activité dans le secteur primaire resterait dynamique, sous l’impulsion des sous-secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche. Ainsi, l’activité est attendue en progression de 7,2% contre 7,9% en 2018, soit un ralentissement de 0,7 point de pourcentage.
Dans le secteur secondaire, il est attendu un renforcement des activités, en liaison, notamment, avec la vigueur de la construction en phase avec l’exécution d’importants projets structurants inscrits dans la phase II du Pse mais aussi l’amélioration de l’offre d’énergie attendue à travers le programme Millenium challenge Corporation .
Globalement, le secteur secondaire est projeté en hausse de 6,0% en 2019, contre une estimation de 6,9% en 2018. La croissance du secteur secondaire serait soutenue, singulièrement, par les activités extractives, la fabrication de produits agro-alimentaires, les matériaux de construction et les BTP et la fabrication de produits chimiques.
En 2019, l’activité du secteur tertiaire devrait rester vigoureuse. La croissance dudit secteur ressortirait à 5,3%, soit une décélération de 1 point de pourcentage par rapport à 2018. Cette orientation favorable reflèterait, principalement, la bonne tenue des activités de commerce, de transports, financières et immobilières, en sus, de la bonne tenue attendue dans les télécommunications et les services d’hébergement et de restauration.
Les activités commerciales se conforteraient, en 2019, profitant de la bonne tenue de la demande, mais également du dynamisme de l’offre à la faveur du renforcement de la production agricole et de l’élevage et de la vigueur attendue du secteur industriel. Ainsi, l’activité du commerce est projetée en hausse de 5,0% en 2019, soit un ralentissement de 0,2 point de pourcentage par rapport à l’année précédente.
Oumar Nourou