’’Aujourd’hui, il faut dire que La Poste doit beaucoup d’argent à l’Etat, c’est plus de 150 milliards’’, a-t-il déclaré, mercredi, lors de la plénière de l’Assemblée nationale consacrée au vote du budget 2020 du ministère de l’économie numérique et des télécommunications, arrêté à près de dix-huit milliards de francs CFA.
Selon lui, le processus de restructuration entamé au niveau de la commission mise en place à cet effet doit être accéléré afin de permettre à La Poste de réduire ses charges, de se redynamiser, tendre vers la bancarisation et exploiter davantage son vaste réseau de plus 300 points.
Le ministre de l’économie numérique et des télécommunications, Ndèye Tické Ndiaye, a pour sa part souligné que cette restructuration est déjà enclenchée avec la signature de deux conventions entre l’Etat et La Poste sur les dettes croisées et sur la compensation financière.
S’agissant de la convention relative à la dette croisée, la ministre a évoqué ’’la recapitalisation de la Poste par l’utilisation d’une partie ou de la totalité des sommes qu’elle doit à l’Etat’’.
Quant à la compensation financière également, elle a déjà permis à La Poste de verser ‘’plus de trente-cinq milliards de francs CFA au trésor public, à travers la BCEAO, via un compte ouvert à cet effet’’, a-t-elle indiqué.
Ainsi, elle a rassuré que cette mutation qui s’observe de manière de manière progressive, va ainsi se poursuivre jusqu’à faire de La Poste, ’’ce patrimoine historique un service de qualité viable et rentable’’.
APS
Selon lui, le processus de restructuration entamé au niveau de la commission mise en place à cet effet doit être accéléré afin de permettre à La Poste de réduire ses charges, de se redynamiser, tendre vers la bancarisation et exploiter davantage son vaste réseau de plus 300 points.
Le ministre de l’économie numérique et des télécommunications, Ndèye Tické Ndiaye, a pour sa part souligné que cette restructuration est déjà enclenchée avec la signature de deux conventions entre l’Etat et La Poste sur les dettes croisées et sur la compensation financière.
S’agissant de la convention relative à la dette croisée, la ministre a évoqué ’’la recapitalisation de la Poste par l’utilisation d’une partie ou de la totalité des sommes qu’elle doit à l’Etat’’.
Quant à la compensation financière également, elle a déjà permis à La Poste de verser ‘’plus de trente-cinq milliards de francs CFA au trésor public, à travers la BCEAO, via un compte ouvert à cet effet’’, a-t-elle indiqué.
Ainsi, elle a rassuré que cette mutation qui s’observe de manière de manière progressive, va ainsi se poursuivre jusqu’à faire de La Poste, ’’ce patrimoine historique un service de qualité viable et rentable’’.
APS