En effet, Le 31 décembre 2016, l'opposition et la majorité présidentielle avaient signé à Kinshasa un accord politique sur la tenue d'élections en RDC et des dispositions transitoires menant aux urnes. Cet accord, qui s'appuie sur un autre accord initial signé le 18 octobre entre une partie de l'opposition et la majorité présidentielle, doit assurer une transition gérée de manière pacifique, conforme aux principes démocratiques consacrés dans la Constitution du pays.
Selon la même source, les quatre organisations partenaires font remarquer que six semaines après avoir convenu des modalités de gestion de la période de transition devant conduire à la tenue d'élections paisibles et crédibles en décembre 2017, les parties n'ont toujours pas conclu les discussions sur la mise en œuvre effective de cet Accord. « Cette situation porte en elle le risque de saper la volonté politique qui a permis la signature de l'Accord du 31 décembre », ont-ils prévenu.
Ainsi, L'ONU, l'UA, l'UE et l'OIF ont souligné la nécessité pour toutes les parties de se mobiliser en appui aux efforts de médiation menés par la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO). Ils ont également rappelé que la mise en œuvre intégrale et rapide de l'Accord est « essentielle à la préservation de la légitimité des institutions de transition jusqu'à la tenue des élections ».
Fatou Blondin CISSE
Selon la même source, les quatre organisations partenaires font remarquer que six semaines après avoir convenu des modalités de gestion de la période de transition devant conduire à la tenue d'élections paisibles et crédibles en décembre 2017, les parties n'ont toujours pas conclu les discussions sur la mise en œuvre effective de cet Accord. « Cette situation porte en elle le risque de saper la volonté politique qui a permis la signature de l'Accord du 31 décembre », ont-ils prévenu.
Ainsi, L'ONU, l'UA, l'UE et l'OIF ont souligné la nécessité pour toutes les parties de se mobiliser en appui aux efforts de médiation menés par la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO). Ils ont également rappelé que la mise en œuvre intégrale et rapide de l'Accord est « essentielle à la préservation de la légitimité des institutions de transition jusqu'à la tenue des élections ».
Fatou Blondin CISSE