Cette évolution traduit l’accélération de l’inclusion financière dans la région, soutenue par l’intégration progressive des banques, établissements financiers, opérateurs de mobile money et fintechs dans les infrastructures numériques de paiement de la Bceao.
Avec 18 opérateurs désormais autorisés à intégrer la Pi-Spi, le Sénégal prend la tête du classement. Lors de la dernière mise à jour, le pays était à 15 opérateurs autorisés par la Bceao.
Pour la Côte d’Ivoire, le nombre d’opérateurs autorisés passe de 13 à 15, le Mali passe de 8 à 9, le Burkina Faso, de 7 à 8, le Bénin passe de 5 à 6. Le Togo, la Guinée-Bissau et le Niger n’ont pas enregistrés de nouveaux opérateurs autorisés.
Le Togo reste à 6. Le Niger et la Guinée sont jusqu’ici à 4 opérateurs autorisés à intégrer la Plateforme interopérable des systèmes de paiement instantané (Pi-Spi).
Pour la Bceao, cette progression marque une étape supplémentaire vers un système de paiement plus inclusif, plus innovant et plus compétitif, au service de l’intégration économique sous régionale.
Bassirou MBAYE
Avec 18 opérateurs désormais autorisés à intégrer la Pi-Spi, le Sénégal prend la tête du classement. Lors de la dernière mise à jour, le pays était à 15 opérateurs autorisés par la Bceao.
Pour la Côte d’Ivoire, le nombre d’opérateurs autorisés passe de 13 à 15, le Mali passe de 8 à 9, le Burkina Faso, de 7 à 8, le Bénin passe de 5 à 6. Le Togo, la Guinée-Bissau et le Niger n’ont pas enregistrés de nouveaux opérateurs autorisés.
Le Togo reste à 6. Le Niger et la Guinée sont jusqu’ici à 4 opérateurs autorisés à intégrer la Plateforme interopérable des systèmes de paiement instantané (Pi-Spi).
Pour la Bceao, cette progression marque une étape supplémentaire vers un système de paiement plus inclusif, plus innovant et plus compétitif, au service de l’intégration économique sous régionale.
Bassirou MBAYE


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