
«Ainsi, le Sénégal s’est engagé, dans la cadre du Pse, à promouvoir une croissance économique durable et inclusive, tirée davantage par le secteur privé. L’atteinte de cet objectif nécessite un cadre macroéconomique stable reposant sur une gestion équilibrée des finances publiques, une plus forte mobilisation des ressources intérieures et une gestion plus efficiente des dépenses publiques.
Pour maintenir la dynamique de croissance, le Sénégal mise sur une accélération de l’investissement privé à travers un programme ambitieux de projets stratégiques, matures, bancables et développés avec un fonds de capital d’amorçage dédié », renseigne la Dpee dans son «Rapport économique et financier ».
Selon la Dpee, l’activité économique devrait rester dynamique et se maintenir sur un sentier de croissance de plus de 6%, à la faveur d’un environnement interne plus favorable, mais également grâce aux investissements structurants dans le cadre de la poursuite de l’exécution des projets et programmes du PSE inscrits dans sa deuxième phase de Plan d’actions prioritaire pour la période 2019-2023. La consolidation des acquis à travers les réformes et le renforcement du climat des affaires contribueraient à maintenir le dynamisme de l’activité économique.
«Globalement, le taux de croissance du PIB réel est projeté à 6,8% en 2020, contre 6,0% en 2019, soit un gain de 0,8 point de pourcentage. Cette croissance serait à la fois tirée par les secteurs, primaire (+7,7%), secondaire (+5,9%) et tertiaire (+6,2%) », lit-on dans le rapport consulté par le Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos). Dans le secteur primaire, l’activité est attendue en hausse de 7,7% en 2020 contre 7,2% en 2019, tirée,
essentiellement, par les sous-secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche. Le secteur primaire contribuerait à 1,3% à la croissance du Pib réel en 2020.
Dans le secteur secondaire, l’activité resterait vigoureuse en 2020, à la faveur de la poursuite de l’exécution des projets structurants du PSE et de la vigueur des industries en rapport avec la mise en œuvre du PAP II de la stratégie d’émergence.
L’activité du secteur est, ainsi, attendue en hausse de 5,9% en 2020 contre 6,0% en 2018, soit une contribution de 1,2 point de pourcentage à la croissance du PIB réel.
Dans le secteur tertiaire, l’activité resterait vigoureuse en liaison avec la bonne orientation du secteur primaire et le dynamisme attendu dans le secteur secondaire. Le secteur tertiaire progresserait de 6,3% en 2020 contre une prévision de 5,3% en 2019, pour une contribution attendue de 2,8 points de pourcentage à la croissance du Pib.
Oumar Nourou
Pour maintenir la dynamique de croissance, le Sénégal mise sur une accélération de l’investissement privé à travers un programme ambitieux de projets stratégiques, matures, bancables et développés avec un fonds de capital d’amorçage dédié », renseigne la Dpee dans son «Rapport économique et financier ».
Selon la Dpee, l’activité économique devrait rester dynamique et se maintenir sur un sentier de croissance de plus de 6%, à la faveur d’un environnement interne plus favorable, mais également grâce aux investissements structurants dans le cadre de la poursuite de l’exécution des projets et programmes du PSE inscrits dans sa deuxième phase de Plan d’actions prioritaire pour la période 2019-2023. La consolidation des acquis à travers les réformes et le renforcement du climat des affaires contribueraient à maintenir le dynamisme de l’activité économique.
«Globalement, le taux de croissance du PIB réel est projeté à 6,8% en 2020, contre 6,0% en 2019, soit un gain de 0,8 point de pourcentage. Cette croissance serait à la fois tirée par les secteurs, primaire (+7,7%), secondaire (+5,9%) et tertiaire (+6,2%) », lit-on dans le rapport consulté par le Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos). Dans le secteur primaire, l’activité est attendue en hausse de 7,7% en 2020 contre 7,2% en 2019, tirée,
essentiellement, par les sous-secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche. Le secteur primaire contribuerait à 1,3% à la croissance du Pib réel en 2020.
Dans le secteur secondaire, l’activité resterait vigoureuse en 2020, à la faveur de la poursuite de l’exécution des projets structurants du PSE et de la vigueur des industries en rapport avec la mise en œuvre du PAP II de la stratégie d’émergence.
L’activité du secteur est, ainsi, attendue en hausse de 5,9% en 2020 contre 6,0% en 2018, soit une contribution de 1,2 point de pourcentage à la croissance du PIB réel.
Dans le secteur tertiaire, l’activité resterait vigoureuse en liaison avec la bonne orientation du secteur primaire et le dynamisme attendu dans le secteur secondaire. Le secteur tertiaire progresserait de 6,3% en 2020 contre une prévision de 5,3% en 2019, pour une contribution attendue de 2,8 points de pourcentage à la croissance du Pib.
Oumar Nourou