«Nous saluons la brillante idée de l’Union Africaine qui, lors de son dernier sommet des Chefs d’Etat, a décidé que 2017 sera l’année de la Jeunesse. Ceci peut être considéré comme un défi de plus pour le Sénégal qui génère plus 324 000 demandeurs d’emploi par an dont les 40% ont au moins le Baccalauréat. Nous saluons le rehaussement du budget d’investissement consolidé de 2017 qui est évalué à plus de 2000 milliards. Cette manne financière devrait profiter aux 350 000 Pme pour qu’il y ait une émergence inclusive», préconise le le président du Conseil des entreprises du Sénégal (CDES), Babacar Diagne dans un document. Pour lui, pour donner de l’emploi aux jeunes Sénégalais, «la seule alternative pour résorber cette grande problématique, est de mettre en place des leviers et réformes pour faciliter et accompagner l’initiative privée».
Face aux problèmes d’accès des Pme à la commande publique, le président du Cdes pense que le Sénégal gagnerait à intégrer la plateforme E. registration, initiée par la Cnuced.
Avec un faible taux de sous-traitance retenu dans les conventions de partenariat public-privé, M. Diagne exige que la Bourse Nationale de sous-traitance et de partenariat du Sénégal (BNSTP-S) soit logée à la Direction Centrale des marchés Publics (DCMP).
Tidiane Diouf
Face aux problèmes d’accès des Pme à la commande publique, le président du Cdes pense que le Sénégal gagnerait à intégrer la plateforme E. registration, initiée par la Cnuced.
Avec un faible taux de sous-traitance retenu dans les conventions de partenariat public-privé, M. Diagne exige que la Bourse Nationale de sous-traitance et de partenariat du Sénégal (BNSTP-S) soit logée à la Direction Centrale des marchés Publics (DCMP).
Tidiane Diouf