Cette situation est imputable aussi bien à la Banque centrale, dont la position extérieure nette s’est détériorée de 84,9 milliards pour s’établir à 1170,7 milliards, qu’aux banques primaires qui ont enregistré une diminution de 11,1 milliards de leurs actifs extérieurs nets (580,4 milliards).
Comparativement à fin mars 2018, les actifs extérieurs nets des institutions de dépôts ont fléchi de 447,2 milliards (-20,3%), à fin mars 2019.
L’encours des créances intérieures des institutions de dépôts s’est dégonflé de 11,1 milliards, entre fin mars et fin avril 2019, pour se chiffrer à 4671,4 milliards, en liaison avec les crédits nets à l’administration centrale (-39,5 milliards).
Pour leur part, les créances sur les autres secteurs se sont consolidées de 28,5 milliards, sur la période, pour s’établir à 4156,5 milliards. En glissement annuel, l’encours des créances intérieures des institutions de dépôts s’est renforcé de 676 milliards (+16,9%), à fin avril 2019.
Pathe TOURE
Comparativement à fin mars 2018, les actifs extérieurs nets des institutions de dépôts ont fléchi de 447,2 milliards (-20,3%), à fin mars 2019.
L’encours des créances intérieures des institutions de dépôts s’est dégonflé de 11,1 milliards, entre fin mars et fin avril 2019, pour se chiffrer à 4671,4 milliards, en liaison avec les crédits nets à l’administration centrale (-39,5 milliards).
Pour leur part, les créances sur les autres secteurs se sont consolidées de 28,5 milliards, sur la période, pour s’établir à 4156,5 milliards. En glissement annuel, l’encours des créances intérieures des institutions de dépôts s’est renforcé de 676 milliards (+16,9%), à fin avril 2019.
Pathe TOURE