chroniques
En 2016, souligne l’ANSD à travers les Résultats des comptes nationaux, le ralentissement de la valeur ajoutée du secteur primaire est essentiellement imputable au sous-secteur agricole qui a progressé de 1 3,7% contre 16,0% en 2015 en liaison avec la baisse de la production d’arachide (-6%) et l’augmentation moins forte de la production de céréales (12,5% contre 72,0% en 2015) lors de la campagne agricole 2016-2017.
En revanche les sous- secteurs de la pêche (12,3%, après 3,4% en 2015), de l’élevage (7,4%, contre 2,7% en 2015) et de la sylviculture (6,0%, après 1,7%) se sont revigorés en 2016.
La bonne tenue de ces sous-secteurs est particulièrement imputable au relèvement des productions bovines (17,7%), ovine et caprine (13,7%) et des débarquements aussi bien dans la pêche industrielle qu’artisanale.
Pathé TOURE
En revanche les sous- secteurs de la pêche (12,3%, après 3,4% en 2015), de l’élevage (7,4%, contre 2,7% en 2015) et de la sylviculture (6,0%, après 1,7%) se sont revigorés en 2016.
La bonne tenue de ces sous-secteurs est particulièrement imputable au relèvement des productions bovines (17,7%), ovine et caprine (13,7%) et des débarquements aussi bien dans la pêche industrielle qu’artisanale.
Pathé TOURE
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