En effet Mamadou Ndiaye informe que depuis la « première opération de levée de ressources de 1998, c’est 11 mille milliards de francs Cfa qui ont été mobilisés ».
Il ajoute dans la foulée que le montant annuel de levée de ressources a connu une évolution par palier d’environ 150 milliards l’an jusqu’en 2010, suivi d’une moyenne annuelle de plus de 500 milliards de FCFA l’an au cours des cinq années qui ont suivi. Et depuis 2011, laisse-t-il entendre, le marché permet en moyenne de lever 1 100 milliards de FCFA par année.
Sous un autre registre, le président du Crepmf fait savoir que sur le plan des animateurs du marché notamment les acteurs agréés, leur nombre est passé de 97 en 2013 à 214 à fin septembre 2019, soit une progression plus qu’en double au cours de cette période.
Cette progression est tirée, selon lui, par les acteurs de la gestion collective notamment les Fonds commun de placement qui se sont accrus de 64 nouveaux fonds sur la période passant de 39 à 103.
« La capitalisation boursière a représenté en moyenne annuelle, sur les trois dernières années, 14,78 % du Produit Intérieur Brut (PIB) de l’Union avec un encours des emprunts obligataires moyen de 38,5% des crédits à moyen et long terme à l’économie », martèle enfin M. Ndiaye qui s’exprimait lors de la cérémonie de lancement de la relecture des textes de base du marché financier de l’Uemoa.
Bassirou MBAYE
Il ajoute dans la foulée que le montant annuel de levée de ressources a connu une évolution par palier d’environ 150 milliards l’an jusqu’en 2010, suivi d’une moyenne annuelle de plus de 500 milliards de FCFA l’an au cours des cinq années qui ont suivi. Et depuis 2011, laisse-t-il entendre, le marché permet en moyenne de lever 1 100 milliards de FCFA par année.
Sous un autre registre, le président du Crepmf fait savoir que sur le plan des animateurs du marché notamment les acteurs agréés, leur nombre est passé de 97 en 2013 à 214 à fin septembre 2019, soit une progression plus qu’en double au cours de cette période.
Cette progression est tirée, selon lui, par les acteurs de la gestion collective notamment les Fonds commun de placement qui se sont accrus de 64 nouveaux fonds sur la période passant de 39 à 103.
« La capitalisation boursière a représenté en moyenne annuelle, sur les trois dernières années, 14,78 % du Produit Intérieur Brut (PIB) de l’Union avec un encours des emprunts obligataires moyen de 38,5% des crédits à moyen et long terme à l’économie », martèle enfin M. Ndiaye qui s’exprimait lors de la cérémonie de lancement de la relecture des textes de base du marché financier de l’Uemoa.
Bassirou MBAYE