« L’entreprenariat est un parcours. C’est comme un enfant auquel il faut apporter de la formation, des connaissances, du savoir-faire ». Cela c’est l’accompagnement. Telle est la conviction de Idrissa Diabira qui participait ce 03 février 2020 au panel sur le thème « Renforcer le capital humain et faciliter l’accès aux services non financiers pour valoriser l’entreprenariat », organisé par la Délégation générale à l’entreprenariat rapide des femmes et des jeunes (Der/Fj) dans le cadre de la Der Acte II à l’occasion de la célébration de deux années d’activités de la structure pilotée par Papa Amadou Sarr.
Selon le directeur général de l’Agence de développement et d’encadrement des petites et moyennes entreprises (Adpme), l’aspect non financier est aussi crucial dans l’accompagnement que le côté financier.
Parce que pour lui, il y a d’abord des problématiques qui tiennent à la production, la stratégie, et à la qualité des ressources humaines qui sont des éléments tout aussi importants pour accéder au financement et permettre à l’entreprise de grandir.
Par conséquent, l’entreprise doit se préoccuper au préalable de la qualité de sa production, de ses services et de leur rentabilité, pour enfin rassurer et convaincre les structures de financement.
A en croire M. Diabira, tout cela reste possible grâce à un accompagnement de qualité, et une mise à niveau de l’entreprise. Celle-ci pourra évaluer si elle remplit les conditions requises pour progresser, solliciter des institutions financières ou encore améliorer sa gestion des stocks, ou sa relation avec ses clients, ses fournisseurs.
Le directeur général de l’Adpme laisse entendre également que « l’écosystème entrepreneurial sénégalais est riche » mais il « vise tout de même à être lisible et visible pour les porteurs de projets ».
Avant de conclure, M. Diabira a indiqué que l’Adpme, étant une structure majeure d’agence d’accompagnement classée première en Afrique de l’Ouest et troisième dans le continent était un partenaire d’accompagnement indiqué pour les entreprises appelées à devenir des futures championnes.
Par ailleurs, il a reconnu que l’accès à l’information sur les opportunités est un « énorme défi, un grand chantier pour les entreprises qui ont du potentiel pour être accompagnées. Enfin il a plaidé pour la mise en place d’un système d’informations qui permet de mieux relier les actions des uns et des autres.
Bassirou MBAYE
Selon le directeur général de l’Agence de développement et d’encadrement des petites et moyennes entreprises (Adpme), l’aspect non financier est aussi crucial dans l’accompagnement que le côté financier.
Parce que pour lui, il y a d’abord des problématiques qui tiennent à la production, la stratégie, et à la qualité des ressources humaines qui sont des éléments tout aussi importants pour accéder au financement et permettre à l’entreprise de grandir.
Par conséquent, l’entreprise doit se préoccuper au préalable de la qualité de sa production, de ses services et de leur rentabilité, pour enfin rassurer et convaincre les structures de financement.
A en croire M. Diabira, tout cela reste possible grâce à un accompagnement de qualité, et une mise à niveau de l’entreprise. Celle-ci pourra évaluer si elle remplit les conditions requises pour progresser, solliciter des institutions financières ou encore améliorer sa gestion des stocks, ou sa relation avec ses clients, ses fournisseurs.
Le directeur général de l’Adpme laisse entendre également que « l’écosystème entrepreneurial sénégalais est riche » mais il « vise tout de même à être lisible et visible pour les porteurs de projets ».
Avant de conclure, M. Diabira a indiqué que l’Adpme, étant une structure majeure d’agence d’accompagnement classée première en Afrique de l’Ouest et troisième dans le continent était un partenaire d’accompagnement indiqué pour les entreprises appelées à devenir des futures championnes.
Par ailleurs, il a reconnu que l’accès à l’information sur les opportunités est un « énorme défi, un grand chantier pour les entreprises qui ont du potentiel pour être accompagnées. Enfin il a plaidé pour la mise en place d’un système d’informations qui permet de mieux relier les actions des uns et des autres.
Bassirou MBAYE