Selon le rapport de la Commission des finances, le budget est arrêté à 335,2 milliards de FCFA en autorisations d’engagement et 239,7 milliards de FCFA en crédits de paiement. Il s’articule autour de quatre programmes couvrant la gouvernance, le rail, la route et le transport aérien.
1,6 milliard pour faire tourner la machine administrative
Le premier programme, consacré à la coordination et à la gestion administrative, bénéficie de 1,65 milliard de FCFA, dont plus d’un milliard destiné aux dépenses de personnel. Une enveloppe modeste, mais indispensable pour assurer le fonctionnement du ministère.
Plus de 44 milliards pour relancer le transport ferroviaire
Le secteur ferroviaire, régulièrement présenté comme un levier de désengorgement routier, se voit allouer 44 milliards de FCFA. Entre transferts courants (près de 30 milliards) et investissements publics (14,3 milliards), le gouvernement entend remettre le rail au cœur de la mobilité nationale.
215 milliards pour le transport routier
Le programme dédié au transport routier rafle la plus grosse part de l’enveloppe : 215,2 milliards de FCFA en Autorisation d’engagement (Ae). Une manne qui illustre la priorité accordée au réseau routier, colonne vertébrale du transport de personnes et de marchandises.
Les crédits couvriront notamment plus de 200 milliards de FCFA d’investissements, dont près de la moitié sera effectivement décaissée en 2026. Une dynamique qui devrait alimenter plusieurs chantiers structurants à travers le pays.
74,3 milliards pour consolider pour le transport aérien
Dernier volet du budget, le programme dédié au transport aérien mobilise 74,3 milliards de FCFA. La plus grande part est destinée aux investissements de l’État (66,7 milliards), signe que l’exécutif mise toujours sur le développement des infrastructures aéroportuaires pour soutenir l’attractivité du pays.
Bassirou MBAYE
1,6 milliard pour faire tourner la machine administrative
Le premier programme, consacré à la coordination et à la gestion administrative, bénéficie de 1,65 milliard de FCFA, dont plus d’un milliard destiné aux dépenses de personnel. Une enveloppe modeste, mais indispensable pour assurer le fonctionnement du ministère.
Plus de 44 milliards pour relancer le transport ferroviaire
Le secteur ferroviaire, régulièrement présenté comme un levier de désengorgement routier, se voit allouer 44 milliards de FCFA. Entre transferts courants (près de 30 milliards) et investissements publics (14,3 milliards), le gouvernement entend remettre le rail au cœur de la mobilité nationale.
215 milliards pour le transport routier
Le programme dédié au transport routier rafle la plus grosse part de l’enveloppe : 215,2 milliards de FCFA en Autorisation d’engagement (Ae). Une manne qui illustre la priorité accordée au réseau routier, colonne vertébrale du transport de personnes et de marchandises.
Les crédits couvriront notamment plus de 200 milliards de FCFA d’investissements, dont près de la moitié sera effectivement décaissée en 2026. Une dynamique qui devrait alimenter plusieurs chantiers structurants à travers le pays.
74,3 milliards pour consolider pour le transport aérien
Dernier volet du budget, le programme dédié au transport aérien mobilise 74,3 milliards de FCFA. La plus grande part est destinée aux investissements de l’État (66,7 milliards), signe que l’exécutif mise toujours sur le développement des infrastructures aéroportuaires pour soutenir l’attractivité du pays.
Bassirou MBAYE

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