
« Justement, le Pad est un port qui est en quête de repositionnement avec de nouvelles missions, de nouveaux défis et de nouvelles plateformes portuaires à gérer. Cette situation exige une mise en cohérence de notre système portuaire national et c’est heureux que, d’ici quelques jours, nous puissions doter notre pays d’une stratégie nationale portuaire », a déclaré M. Bodiang.
Il a expliqué que cette initiative s’inscrit dans une vision plus large de repositionnement stratégique des ports africains face à une mondialisation où la part de l’Afrique dans le commerce international reste inférieure à 3%. «Si le volume des échanges commerciaux interafricains n’augmente pas, il sera difficile de positionner nos ports comme des hubs logistiques de classe mondiale », a alerté le Directeur général du Pad.
Wally Diouf Bodiang s’est félicité de la tenue à Dakar de cette rencontre de l’Agpaoc. Il a affirmé que les réunions techniques de l’Agpaoc sont des rendez-vous essentiels pour améliorer les processus d’exploitation des ports membres et renforcer les liens inter portuaires. Selon lui, ces réflexions doivent permettre de concilier rattrapage des retards infrastructuraux, exigence de durabilité et digitalisation des opérations dans une logique d’excellence opérationnelle.
Adou FAYE
Il a expliqué que cette initiative s’inscrit dans une vision plus large de repositionnement stratégique des ports africains face à une mondialisation où la part de l’Afrique dans le commerce international reste inférieure à 3%. «Si le volume des échanges commerciaux interafricains n’augmente pas, il sera difficile de positionner nos ports comme des hubs logistiques de classe mondiale », a alerté le Directeur général du Pad.
Wally Diouf Bodiang s’est félicité de la tenue à Dakar de cette rencontre de l’Agpaoc. Il a affirmé que les réunions techniques de l’Agpaoc sont des rendez-vous essentiels pour améliorer les processus d’exploitation des ports membres et renforcer les liens inter portuaires. Selon lui, ces réflexions doivent permettre de concilier rattrapage des retards infrastructuraux, exigence de durabilité et digitalisation des opérations dans une logique d’excellence opérationnelle.
Adou FAYE