
Selon un communiqué de presse, publié jeudi à Washington en marge des assemblées annuelles du Fonds monétaire international (Fmi) et de la Banque mondiale, ce rapport propose une feuille de route complète pour accélérer les progrès de l'Afrique grâce à des solutions financières innovantes, des réformes politiques et des partenariats stratégiques, plaçant ainsi les priorités économiques de l'Afrique au cœur des discussions financières internationales.
Ce livre blanc, renseigne la même source, propose un plan détaillé et concret pour exploiter les formidables opportunités économiques de l'Afrique, tout en examinant les axes de croissance essentiels, notamment la facilitation des échanges, le développement des infrastructures, l'innovation numérique, le financement climatique et la croissance inclusive.
«En prônant l'intégration des capitaux nationaux aux alliances stratégiques mondiales, le document vise à débloquer environ 4 000 milliards de dollars d'actifs financiers nationaux africains, dont 2 500 milliards de dollars d'actifs bancaires commerciaux et plus de 1 100 milliards de dollars de capitaux institutionnels à long terme, tout en exploitant le potentiel de 3 400 milliards de dollars du marché unique de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) », lit-on dans le document.
Pour l'Afrique, ce livre blanc représente une avancée décisive en matière d'infrastructures financières et d'autonomisation économique. Il aborde des défis de longue date, tels que l'accès limité aux capitaux et le sous-développement des partenariats, et propose des solutions susceptibles d'accélérer le développement durable sur le continent.
Le président du groupe Uba, Tony Elumelu, qui a présenté une vision audacieuse pour l'avenir du continent lors du lancement, a déclaré que l'Afrique se trouve à un carrefour de transformations, riche en résilience, en créativité et en potentiel inexploité. «Avec ce livre blanc, Uba défend l' Africapitalisme, donnant à notre secteur privé les moyens de stimuler une croissance durable, source de prospérité et de richesse sociale. », a-t-il dit. Elumelu, également fondateur de Heirs Holding Group et fervent défenseur du concept d'Africapitalisme, a ajouté qu'en mettant l'accent sur la croissance inclusive et l'innovation numérique, le rapport promet d'améliorer l'inclusion financière de millions de personnes, de soutenir les projets d'infrastructures et de promouvoir des initiatives résilientes au changement climatique, favorisant ainsi la création d'emplois, la réduction de la pauvreté et l'intégration régionale dans le cadre de la Zlecaf.
Sur le plan financier mondial, souligne le document, cette publication souligne également l'importance croissante de l'Afrique comme acteur clé de l'économie mondiale. Les investisseurs, les institutions et les décideurs politiques internationaux sont invités à approfondir leurs échanges avec les marchés africains, en mettant en avant des opportunités mutuellement avantageuses de flux de capitaux et de collaborations.
Cela, a-t-il souligné, contribuera à remodeler les stratégies d'investissement mondiales, à encourager une réorientation vers les marchés émergents et à promouvoir des portefeuilles diversifiés incluant des actifs africains, contribuant ainsi à une croissance économique mondiale plus équilibrée.
Tony Elumelu a expliqué qu'avec ce livre blanc, UBA défend l'africapitalisme, permettant à notre secteur privé de stimuler une croissance durable, source de prospérité et de richesse sociale. Il a ajouté : « Aux investisseurs d'Afrique et du monde entier : rejoignez-nous pour mobiliser nos 4 000 milliards de dollars de capitaux nationaux et nouer des partenariats stratégiques afin de saisir les opportunités, de réduire les risques liés aux investissements et de construire un avenir autodéterminé. L'ère de l'action est arrivée ; saisissons-la ensemble pour la souveraineté économique de l'Afrique.»
Oliver Alawuba, Directeur général du groupe Uba, a également commenté le livre blanc, en soulignant qu'il redéfinit le financement du développement, passant d'une dépendance à l'aide à des autoroutes de l'investissement propulsées par l'innovation africaine.
« Uba, forte de sa connaissance approfondie du marché local et de sa présence mondiale, est idéalement positionnée pour débloquer les flux de capitaux et favoriser les collaborations qui transforment les défis en opportunités. Nous invitons les leaders financiers du monde entier à collaborer avec nous pour déployer des solutions agiles, des plateformes numériques au financement mixte, et co-créer une croissance résiliente qui profite à des millions de personnes. L'Afrique a maintenant son heure de gloire ; engagez-vous dès aujourd'hui à prendre part à cette révolution », a-t-il déclaré.
Adou FAYE
Ce livre blanc, renseigne la même source, propose un plan détaillé et concret pour exploiter les formidables opportunités économiques de l'Afrique, tout en examinant les axes de croissance essentiels, notamment la facilitation des échanges, le développement des infrastructures, l'innovation numérique, le financement climatique et la croissance inclusive.
«En prônant l'intégration des capitaux nationaux aux alliances stratégiques mondiales, le document vise à débloquer environ 4 000 milliards de dollars d'actifs financiers nationaux africains, dont 2 500 milliards de dollars d'actifs bancaires commerciaux et plus de 1 100 milliards de dollars de capitaux institutionnels à long terme, tout en exploitant le potentiel de 3 400 milliards de dollars du marché unique de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) », lit-on dans le document.
Pour l'Afrique, ce livre blanc représente une avancée décisive en matière d'infrastructures financières et d'autonomisation économique. Il aborde des défis de longue date, tels que l'accès limité aux capitaux et le sous-développement des partenariats, et propose des solutions susceptibles d'accélérer le développement durable sur le continent.
Le président du groupe Uba, Tony Elumelu, qui a présenté une vision audacieuse pour l'avenir du continent lors du lancement, a déclaré que l'Afrique se trouve à un carrefour de transformations, riche en résilience, en créativité et en potentiel inexploité. «Avec ce livre blanc, Uba défend l' Africapitalisme, donnant à notre secteur privé les moyens de stimuler une croissance durable, source de prospérité et de richesse sociale. », a-t-il dit. Elumelu, également fondateur de Heirs Holding Group et fervent défenseur du concept d'Africapitalisme, a ajouté qu'en mettant l'accent sur la croissance inclusive et l'innovation numérique, le rapport promet d'améliorer l'inclusion financière de millions de personnes, de soutenir les projets d'infrastructures et de promouvoir des initiatives résilientes au changement climatique, favorisant ainsi la création d'emplois, la réduction de la pauvreté et l'intégration régionale dans le cadre de la Zlecaf.
Sur le plan financier mondial, souligne le document, cette publication souligne également l'importance croissante de l'Afrique comme acteur clé de l'économie mondiale. Les investisseurs, les institutions et les décideurs politiques internationaux sont invités à approfondir leurs échanges avec les marchés africains, en mettant en avant des opportunités mutuellement avantageuses de flux de capitaux et de collaborations.
Cela, a-t-il souligné, contribuera à remodeler les stratégies d'investissement mondiales, à encourager une réorientation vers les marchés émergents et à promouvoir des portefeuilles diversifiés incluant des actifs africains, contribuant ainsi à une croissance économique mondiale plus équilibrée.
Tony Elumelu a expliqué qu'avec ce livre blanc, UBA défend l'africapitalisme, permettant à notre secteur privé de stimuler une croissance durable, source de prospérité et de richesse sociale. Il a ajouté : « Aux investisseurs d'Afrique et du monde entier : rejoignez-nous pour mobiliser nos 4 000 milliards de dollars de capitaux nationaux et nouer des partenariats stratégiques afin de saisir les opportunités, de réduire les risques liés aux investissements et de construire un avenir autodéterminé. L'ère de l'action est arrivée ; saisissons-la ensemble pour la souveraineté économique de l'Afrique.»
Oliver Alawuba, Directeur général du groupe Uba, a également commenté le livre blanc, en soulignant qu'il redéfinit le financement du développement, passant d'une dépendance à l'aide à des autoroutes de l'investissement propulsées par l'innovation africaine.
« Uba, forte de sa connaissance approfondie du marché local et de sa présence mondiale, est idéalement positionnée pour débloquer les flux de capitaux et favoriser les collaborations qui transforment les défis en opportunités. Nous invitons les leaders financiers du monde entier à collaborer avec nous pour déployer des solutions agiles, des plateformes numériques au financement mixte, et co-créer une croissance résiliente qui profite à des millions de personnes. L'Afrique a maintenant son heure de gloire ; engagez-vous dès aujourd'hui à prendre part à cette révolution », a-t-il déclaré.
Adou FAYE