chroniques
Le total bilan de la banque a progressé de 3% pour s’établir à 1 099 milliards de FCFA. Cette évolution est principalement tirée, à l’actif par la hausse de 9,5% des créances sur la clientèle, et au passif, par les dettes à l’égard de la clientèle de 7%.
Par ailleurs et afin de renforcer ses fonds propres, la Sib les a fait progresser de 15%, lui permettant ainsi d’améliorer sa solidité financière et d’être conforme aux exigences des nouvelles normes prudentielles.
Les charges d’exploitation s’établissent à 32,6 milliards de FCFA au 31 décembre 2019, en augmentation de 7% par rapport à l’année 2018. Le coefficient d’exploitation s’améliore à 45,4% en 2019 contre 46,4% une année auparavant. Le résultat net ressort à 28 milliards de FCFA, en progression de 21% par rapport à l’année 2018.
Commentant les résultats de la banque, les dirigeants de cet établissement bancaire basé à Abidjan indique que la concurrence dans le secteur bancaire reste vive en raison du nombre important d’acteurs. « Nous avons assisté à l’entrée de nouveaux acteurs (Mansa Bank et Orange Banque) qui débuteront leurs activités en 2020 et à la prise du contrôle de la BHCI par l’Etat. Les banques poursuivent leur mise en conformité à l’égard des normes de Bâle II et Bâle III et des nouvelles circulaires régissant leur gouvernance et leur fonctionnement. »
« L’exercice 2020 étant une année électorale, nous avons été prudents, tout en restant optimistes dans le cadre budgétaire. Si les élections présidentielles se déroulent dans un environnement serein, nous devrions réaliser nos ambitions sur l’exercice 2020 et être en ligne avec le plan stratégique. En effet, les projections de la Banque mondiale tablent sur une croissance du PIB autour de 7%, une inflation maitrisée à moins de 2%, un déficit budgétaire en amélioration aux alentours de 3% et un niveau d’endettement maîtrisée en dessous de 48% », ajoute la direction générale.
Adou FAYE
Par ailleurs et afin de renforcer ses fonds propres, la Sib les a fait progresser de 15%, lui permettant ainsi d’améliorer sa solidité financière et d’être conforme aux exigences des nouvelles normes prudentielles.
Les charges d’exploitation s’établissent à 32,6 milliards de FCFA au 31 décembre 2019, en augmentation de 7% par rapport à l’année 2018. Le coefficient d’exploitation s’améliore à 45,4% en 2019 contre 46,4% une année auparavant. Le résultat net ressort à 28 milliards de FCFA, en progression de 21% par rapport à l’année 2018.
Commentant les résultats de la banque, les dirigeants de cet établissement bancaire basé à Abidjan indique que la concurrence dans le secteur bancaire reste vive en raison du nombre important d’acteurs. « Nous avons assisté à l’entrée de nouveaux acteurs (Mansa Bank et Orange Banque) qui débuteront leurs activités en 2020 et à la prise du contrôle de la BHCI par l’Etat. Les banques poursuivent leur mise en conformité à l’égard des normes de Bâle II et Bâle III et des nouvelles circulaires régissant leur gouvernance et leur fonctionnement. »
« L’exercice 2020 étant une année électorale, nous avons été prudents, tout en restant optimistes dans le cadre budgétaire. Si les élections présidentielles se déroulent dans un environnement serein, nous devrions réaliser nos ambitions sur l’exercice 2020 et être en ligne avec le plan stratégique. En effet, les projections de la Banque mondiale tablent sur une croissance du PIB autour de 7%, une inflation maitrisée à moins de 2%, un déficit budgétaire en amélioration aux alentours de 3% et un niveau d’endettement maîtrisée en dessous de 48% », ajoute la direction générale.
Adou FAYE
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