
Selon l’ANSD, « les grandes entreprises qui représentent 2,8% des unités répertoriées sont celles qui ont le plus contribué à cette création de richesse avec une part de 76,3% ».
Cette embellie de l’activité des entreprises du secteur moderne est imputable au regain de dynamisme de l’industrie (plus 90,5%) et du commerce (plus 14,4%) atténué par une baisse de 24,1% de la valeur ajoutée des bâtiments et travaux publics.
De son côté, la valeur ajoutée des services s’est appréciée de 3,9%. Dans le même sillage, le résultat net s’est sensiblement amélioré par rapport à 2014.
El Hadj Diakhaté