« C’est un échantillon de tout ce que le savoir-faire français peut proposer comme contribution à l’émergence du Sénégal », explique Bruno Metling, président du Medef international pour l’Afrique de l’Ouest et chef de la délégation. Selon Antoine Ngom, vice-président du Conseil national du paronat (Cnp), il est désormais question de repartir sur de nouvelles bases. « Nous voulons un partenariat plus équilibré », a expliqué M. Ngom, lors de la conférence de presse. Selon lui, il s’agit d’aller vers le co-investissement, avec des entreprises à capitaux français et sénégalais, de droit sénégalais et à fort capital humain sénégalais.
Selon Bruno Metling la présence internationale des entreprises au Sénégal a beaucoup changé. « Aujourd’hui, on ne peut plus concevoir de projets importants sans un partenariat avec le secteur privé sénégalais ». Il affirme que le meilleur exemple du modèle à suivre c’est la Sonatel, « l’un des plus beaux succès » en matière de co-investissement. Il n’a pas manqué d’insiste sur l’innovation et la contrepartie pour la population et la jeunesse en particulier, tout en étant compétitif.
Mountaga Sy, directeur général de l’Apix estime de son côté, qu’il s’agit de substituer, de façon définitive, la co-traitance à la sous-traitance. Le schéma, fait-il savoir, c’est que le secteur privé étranger vienne apporter sa compétence distinctive dans un projet qui demande des ressources financières énormes ou bien des spécificités technologiques et d’embarquer le secteur privé national.
Adou FAYE
Selon Bruno Metling la présence internationale des entreprises au Sénégal a beaucoup changé. « Aujourd’hui, on ne peut plus concevoir de projets importants sans un partenariat avec le secteur privé sénégalais ». Il affirme que le meilleur exemple du modèle à suivre c’est la Sonatel, « l’un des plus beaux succès » en matière de co-investissement. Il n’a pas manqué d’insiste sur l’innovation et la contrepartie pour la population et la jeunesse en particulier, tout en étant compétitif.
Mountaga Sy, directeur général de l’Apix estime de son côté, qu’il s’agit de substituer, de façon définitive, la co-traitance à la sous-traitance. Le schéma, fait-il savoir, c’est que le secteur privé étranger vienne apporter sa compétence distinctive dans un projet qui demande des ressources financières énormes ou bien des spécificités technologiques et d’embarquer le secteur privé national.
Adou FAYE