Selon la même source, cette évolution est, à la fois, attribuable aux dépenses courantes (+23,2%) et aux investissements (+14%).
La hausse des dépenses courantes est principalement liée aux charges d’intérêts sur la dette publique (209,3 milliards), à la masse salariale (421,1 milliards) et aux charges de fonctionnement (694,6 milliards) qui se sont respectivement consolidées de 32,5%, 6,3% et 33,3%.
Pour sa part, l’accroissement des dépenses de fonctionnement traduit les effets conjugués des transferts (+ 63,5%) et des subventions (+18,8%).
Concernant les dépenses en capital, elles sont évaluées à 773,0 milliards à fin juillet 2019 contre 677,9 un an auparavant, soit une hausse de 14,0%, notamment, tirée par les investissements sur ressources extérieures (+32,5%) et intérieures (+2,1%) qui sont respectivement chiffrés à 353,0 milliards et 420,0 milliards.
Adou FAYE
La hausse des dépenses courantes est principalement liée aux charges d’intérêts sur la dette publique (209,3 milliards), à la masse salariale (421,1 milliards) et aux charges de fonctionnement (694,6 milliards) qui se sont respectivement consolidées de 32,5%, 6,3% et 33,3%.
Pour sa part, l’accroissement des dépenses de fonctionnement traduit les effets conjugués des transferts (+ 63,5%) et des subventions (+18,8%).
Concernant les dépenses en capital, elles sont évaluées à 773,0 milliards à fin juillet 2019 contre 677,9 un an auparavant, soit une hausse de 14,0%, notamment, tirée par les investissements sur ressources extérieures (+32,5%) et intérieures (+2,1%) qui sont respectivement chiffrés à 353,0 milliards et 420,0 milliards.
Adou FAYE