En effet, la DPEE explique ce repli par l’absence d’exportations d’acide phosphorique au cours du mois sous revue, après un niveau de 10,2 milliards le mois précédent. L’orientation des exportations est, en outre, imputable à la diminution des ventes à l’étranger d’or brut (-0,6 milliard), de produits alimentaires (-0,5 milliard) et, dans une moindre mesure, d’engrais minéraux et chimiques (-0,3 milliard).
Ainsi, au titre des exportations de produits alimentaires, la baisse observée traduit, en particulier, celle des ventes à l’étranger de produits halieutiques (-0,5 milliard) et l’absence d’exportations de produits arachidiers durant le mois de décembre 2016. En revanche, les ventes à l’étranger de produits pétroliers ont affiché une hausse de 4,8 milliards. S’agissant des exportations de ciment, elles ont connu une lé- gère hausse de 0,3 milliard sur la période.
En glissement annuel, la même source indique que les exportations de biens ont enregistré une baisse de 42,9% (-62,4 milliards), essentiellement attribuable aux produits alimentaires (-17,2 milliards), à l’acide phosphorique (-14,7 milliards), aux produits pétroliers (-6,5 milliards), à l’or brut (-2,8 milliards) et, dans une moindre mesure, aux engrais minéraux et chimiques (-0,8 milliard).
Fatou Blondin CISSE
Ainsi, au titre des exportations de produits alimentaires, la baisse observée traduit, en particulier, celle des ventes à l’étranger de produits halieutiques (-0,5 milliard) et l’absence d’exportations de produits arachidiers durant le mois de décembre 2016. En revanche, les ventes à l’étranger de produits pétroliers ont affiché une hausse de 4,8 milliards. S’agissant des exportations de ciment, elles ont connu une lé- gère hausse de 0,3 milliard sur la période.
En glissement annuel, la même source indique que les exportations de biens ont enregistré une baisse de 42,9% (-62,4 milliards), essentiellement attribuable aux produits alimentaires (-17,2 milliards), à l’acide phosphorique (-14,7 milliards), aux produits pétroliers (-6,5 milliards), à l’or brut (-2,8 milliards) et, dans une moindre mesure, aux engrais minéraux et chimiques (-0,8 milliard).
Fatou Blondin CISSE