Selon la même source, cette augmentation reflète la progression des dépenses courantes, notamment, la masse salariale et les charges de fonctionnement, atténuée, toutefois, par la baisse des intérêts sur la dette et la contraction des dépenses d’investissements.
En effet, les charges de fonctionnement (312,8 milliards) et la masse salariale (204 milliards) ont progressé respectivement de 19,1 milliards (+6,5%) et 21,3 milliards (+11,7%). Cette hausse est atténuée, d’une part, par la contraction des intérêts sur la dette qui se sont repliés de 2,1 milliards pour s’établir à 113,9 milliards, et d’autre part, par la réduction des dépenses d’investissements ; lesquelles ont baissé globalement de 6,1%, passant ainsi de 422,4 milliards à 396,8 milliards sur la période.
Ce repli, souligne la Dpee, est imputable, aussi bien, aux investissements financés sur ressources internes (208,8 milliards) qu’aux investissements financés sur ressources extérieures (188 milliards).
Oumar Nourou
En effet, les charges de fonctionnement (312,8 milliards) et la masse salariale (204 milliards) ont progressé respectivement de 19,1 milliards (+6,5%) et 21,3 milliards (+11,7%). Cette hausse est atténuée, d’une part, par la contraction des intérêts sur la dette qui se sont repliés de 2,1 milliards pour s’établir à 113,9 milliards, et d’autre part, par la réduction des dépenses d’investissements ; lesquelles ont baissé globalement de 6,1%, passant ainsi de 422,4 milliards à 396,8 milliards sur la période.
Ce repli, souligne la Dpee, est imputable, aussi bien, aux investissements financés sur ressources internes (208,8 milliards) qu’aux investissements financés sur ressources extérieures (188 milliards).
Oumar Nourou