L’information est donnée par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) qui a publié les Comptes nationaux provisoires de 2018 et définitifs de 2017.
Selon l’Ansd, l’évolution du sous-secteur agricole est consécutive à une bonne tenue de la production de céréales ressortie à +13% en quantité et celle de l’arachide qui affiche un accroissement de 7% en liaison avec la bonne pluviométrie et l’augmentation des surfaces emblavées.
En outre, un bon dynamisme des spéculations horticoles a été enregistré. Par ailleurs, les productions en quantité de niébé, de la pomme de terre et du manioc ont crû respectivement de +41%, +76% et +37% en 2018. La bonne tenue de l’activité de la pêche est impulsée par les effets des accords signés avec les pays limitrophes (l’augmentation du nombre de navires surtout les thoniers senneurs, les chalutiers pélagiques et les sardiniers) et également par l’application du nouveau code de la pêche.
Toutefois, par rapport à l’année précédente, la croissance du secteur primaire a fléchi de 3,6 points en rapport avec le ralentissement de l’agriculture (9,9%, après 16,4% en 2017), la faible progression de l’élevage (2,7% en 2018 contre 3,6% en 2017) et l’atonie des activités de sylviculture et d’exploitation forestière (0,2%, après 2,7% en 2017). Globalement, le secteur primaire a contribué à 1,1 point à la croissance en 2018, après 1,6 point en 2017.
Adou FAYE
Selon l’Ansd, l’évolution du sous-secteur agricole est consécutive à une bonne tenue de la production de céréales ressortie à +13% en quantité et celle de l’arachide qui affiche un accroissement de 7% en liaison avec la bonne pluviométrie et l’augmentation des surfaces emblavées.
En outre, un bon dynamisme des spéculations horticoles a été enregistré. Par ailleurs, les productions en quantité de niébé, de la pomme de terre et du manioc ont crû respectivement de +41%, +76% et +37% en 2018. La bonne tenue de l’activité de la pêche est impulsée par les effets des accords signés avec les pays limitrophes (l’augmentation du nombre de navires surtout les thoniers senneurs, les chalutiers pélagiques et les sardiniers) et également par l’application du nouveau code de la pêche.
Toutefois, par rapport à l’année précédente, la croissance du secteur primaire a fléchi de 3,6 points en rapport avec le ralentissement de l’agriculture (9,9%, après 16,4% en 2017), la faible progression de l’élevage (2,7% en 2018 contre 3,6% en 2017) et l’atonie des activités de sylviculture et d’exploitation forestière (0,2%, après 2,7% en 2017). Globalement, le secteur primaire a contribué à 1,1 point à la croissance en 2018, après 1,6 point en 2017.
Adou FAYE