chroniques
« Si un pays veut développer son agriculture, maintenir sa population en bonne santé, il faut une eau en quantité suffisante et de qualité » , a-t-elle expliqué.
Aminata Touré présidait la cérémonie d’ouverture de la 9eme assemblée générale du conseil des ministres africains en charge de l’eau (AMCOW) qui se tient en marge de la semaine de l’eau à Dakar.
Elle soutient que « l’eau peut constituer un risque de conflits car si nous prenons le Sénégal, un fleuve est partagé avec des pays voisins et cela nécessite ainsi beaucoup de concertation pour qu’il y’ait une stabilité dans la zone. Sans compter les conflits internes entre éleveurs et agriculteurs, d’où la nécessité d’une bonne gestion de cette ressource vitale ».
Selon elle, « Au niveau le plus élevé des institutions africaines et des gouvernements, la question de l’eau est importante, il y’a des expériences diverses en terme de conception de barrage et en terme de purification de l’eau.
Dans ce cadre il faut que nos pays soient ensemble pour que le processus de concertation se renforce, que les bonnes expériences se partagent parce que sans eau il y’a pas de vie, ni d’économie et cela peut constituer une source de tension au sein des pays et entre les nations », a ajouté le premier ministre.
« Cette assemble générale qui regroupe 28 ministres africains est importante du point de vue des échanges, de la préservation et de la concertation sur cette ressource qui est hyper stratégique pour l’ensemble de nos Etats », a-t-elle estimé.
Pour rappel, la présidence de l’AMCOW tourne tous les deux ans entre les cinq sous-régions africaines. L’Egypte a assuré la présidence à partir de 2012 mais à renoncer à ces attributions après la suspension du pays de l’Union Africaine. A l’unanimité, le ministre nigérien des ressources en eau a été choisi pour assurer la présidence de façon intérimaire et devrait passer le témoin au Sénégal lors de cette 9eme assemble générale.
Ndeye Maguette Kébé
Aminata Touré présidait la cérémonie d’ouverture de la 9eme assemblée générale du conseil des ministres africains en charge de l’eau (AMCOW) qui se tient en marge de la semaine de l’eau à Dakar.
Elle soutient que « l’eau peut constituer un risque de conflits car si nous prenons le Sénégal, un fleuve est partagé avec des pays voisins et cela nécessite ainsi beaucoup de concertation pour qu’il y’ait une stabilité dans la zone. Sans compter les conflits internes entre éleveurs et agriculteurs, d’où la nécessité d’une bonne gestion de cette ressource vitale ».
Selon elle, « Au niveau le plus élevé des institutions africaines et des gouvernements, la question de l’eau est importante, il y’a des expériences diverses en terme de conception de barrage et en terme de purification de l’eau.
Dans ce cadre il faut que nos pays soient ensemble pour que le processus de concertation se renforce, que les bonnes expériences se partagent parce que sans eau il y’a pas de vie, ni d’économie et cela peut constituer une source de tension au sein des pays et entre les nations », a ajouté le premier ministre.
« Cette assemble générale qui regroupe 28 ministres africains est importante du point de vue des échanges, de la préservation et de la concertation sur cette ressource qui est hyper stratégique pour l’ensemble de nos Etats », a-t-elle estimé.
Pour rappel, la présidence de l’AMCOW tourne tous les deux ans entre les cinq sous-régions africaines. L’Egypte a assuré la présidence à partir de 2012 mais à renoncer à ces attributions après la suspension du pays de l’Union Africaine. A l’unanimité, le ministre nigérien des ressources en eau a été choisi pour assurer la présidence de façon intérimaire et devrait passer le témoin au Sénégal lors de cette 9eme assemble générale.
Ndeye Maguette Kébé
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