Cette performance est, principalement, liée à la bonne tenue de la construction (+15,7%), des conserveries de viande et de poissons (+31,4%), des « autres industries manufacturières » (+30,1%) et de la métallurgie-fonderie (+25%). Elle a été néanmoins atténuée par les faibles résultats observés au niveau des activités extractives (-16,7%), du travail de bois (-26,6%), de production d’ « autres produits alimentaires » (-6,9%) et de la fabrication de tabac (-18,1%). En variation glissante sur un an, le secteur secondaire s’est contracté de 5,2%, du fait essentiellement des industries chimiques (-32,9%), des activités extractives (-16,7%), de la production de sucre (-75,1%), des « conserveries de viande et de poissons » (+9,1%), de la fabrication de produits céréaliers (-39,9%) et du travail de grains (-65,9%).
Par contre, souligne la DPEE , l’énergie (+8,1%), les « autres industries manufacturières » (+30,9%), le travail de bois (+32,8%) et la fabrication de machines se sont bien comportés sur la période.
Oumar Nourou