« La réassurance non proportionnelle, en excédent de sinistre par événement, est une première solution de couverture du risque pandémie », confie l’article de Atlas. Qui explique cette solution est mise en jeu lorsque le montant du sinistre à payer dépasse un certain seuil fixé d'un commun accord entre l'assureur et le réassureur, avec un plafond d'engagement également négocié entre les deux parties.
Une deuxième solution de réassurance, dit-il, est possible avec la titrisation du risque pandémie. A l’en croire, cette méthode de réassurance financière connait un important développement depuis le début des années 2000. Parce que, « les assureurs et réassureurs y ont de plus en plus recours pour se couvrir contre les risques de catastrophes naturelles ».
Par ailleurs, indique la même source, risque nouveau, la pandémie est actuellement exclue de la majorité des traités de réassurance des risques catastrophes classiques et des couvertures à caractère financier. En ce sens, elle souligne en effet que « Tout dépend des marchés. Dans la région Europe, Moyen-Orient, Afrique (EMEA), les réassureurs souscrivant sur les marchés allemand et scandinave semblent les plus affectés. Le marché britannique de la réassurance est également impacté mais dans une moindre mesure ».
Bassirou MBAYE
Une deuxième solution de réassurance, dit-il, est possible avec la titrisation du risque pandémie. A l’en croire, cette méthode de réassurance financière connait un important développement depuis le début des années 2000. Parce que, « les assureurs et réassureurs y ont de plus en plus recours pour se couvrir contre les risques de catastrophes naturelles ».
Par ailleurs, indique la même source, risque nouveau, la pandémie est actuellement exclue de la majorité des traités de réassurance des risques catastrophes classiques et des couvertures à caractère financier. En ce sens, elle souligne en effet que « Tout dépend des marchés. Dans la région Europe, Moyen-Orient, Afrique (EMEA), les réassureurs souscrivant sur les marchés allemand et scandinave semblent les plus affectés. Le marché britannique de la réassurance est également impacté mais dans une moindre mesure ».
Bassirou MBAYE