« Nous voulons la promotion de l’auto emploi et en conséquence il était nécessaire d’organiser des sessions de formation dans les écoles de commerce », souligne d’emblée M. Ndaw. Qui ajoute que l’éducation financière permet de gérer son argent, d’éviter le gaspillage, d’investir et de choisir des produits financiers en relation avec ses besoins.
« Beaucoup d’incendie dans les marchés, beaucoup d’inondation ! Nous constatons que des commerçants peuvent mettre une valeur de 100 à 200 millions de francs Cfa dans une boutique sans avoir le réflexe d’aller s’assurer. Nous voyons qu’il y a des milliards qui circulent en dehors du secteur financier. Il n’y a pas de sécurité mais également cela ne contribue pas à la croissance économique ».
C’est la raison pour laquelle explique M. Ndaw, l’Oqsf essaie de promouvoir l’inclusion financière qui permet à chaque sénégalais de disposer d’un compte bancaire, de microfinance ou d’un portefeuille électronique pour éviter la fiduciarisation de l’économie, pour que les transactions financières se passent de manière tout à fait officielle, légale et dans le circuit formel.
Concernant les stratégies pour la promotion de l’inclusion financière, Habib Ndaw évoque le déroulement d’un programme d’éducation financière sur toute l’étendue du territoire national en relation avec les chambres de commerce, la préparation de la jeunesse qui, selon lui sera une génération plus riche que la sienne avec la découverte des hydrocarbures et l’exploitation des ressources minières.
Tout cela dit-il, nécessite de développer chez les jeunes l’esprit entrepreneurial, de pousser les populations à éviter le gaspillage et de les faire connaitre les opportunités que présente le fait de travailler avec une institution financière.
Bassirou MBAYE
« Beaucoup d’incendie dans les marchés, beaucoup d’inondation ! Nous constatons que des commerçants peuvent mettre une valeur de 100 à 200 millions de francs Cfa dans une boutique sans avoir le réflexe d’aller s’assurer. Nous voyons qu’il y a des milliards qui circulent en dehors du secteur financier. Il n’y a pas de sécurité mais également cela ne contribue pas à la croissance économique ».
C’est la raison pour laquelle explique M. Ndaw, l’Oqsf essaie de promouvoir l’inclusion financière qui permet à chaque sénégalais de disposer d’un compte bancaire, de microfinance ou d’un portefeuille électronique pour éviter la fiduciarisation de l’économie, pour que les transactions financières se passent de manière tout à fait officielle, légale et dans le circuit formel.
Concernant les stratégies pour la promotion de l’inclusion financière, Habib Ndaw évoque le déroulement d’un programme d’éducation financière sur toute l’étendue du territoire national en relation avec les chambres de commerce, la préparation de la jeunesse qui, selon lui sera une génération plus riche que la sienne avec la découverte des hydrocarbures et l’exploitation des ressources minières.
Tout cela dit-il, nécessite de développer chez les jeunes l’esprit entrepreneurial, de pousser les populations à éviter le gaspillage et de les faire connaitre les opportunités que présente le fait de travailler avec une institution financière.
Bassirou MBAYE