La convention Uemoa-Coraf, signée en septembre 2014, pour la mise enœuvre des programmes prioritaires de recherche dans l’espace Uemoa, a été clôturée en décembre 2019, informe le Coraf dans un communiqué. Selon lequel un rapport co-publié par les deux institutions, que sont l’Uemoa et le Coraf, présente les résultatsclés du programme de partenariat.
« 8546 ménages ont bénéficié directement du projet, dont 23% sont des femmes », confie le document. Qui ajoute que la plupart des technologies générées tout au long du projet ont été diffusées par le biais de plateformes d’innovation. Il s’agit, dit-on, de lieux d’échange, d’apprentissage, de partage et d’adoption informels de technologies, d’innovations et de meilleures pratiques agricoles entre les principaux acteurs de la chaîne alimentaire d’une communauté donnée.
Au total, quinze (15) plateformes d’innovation ont été créées et fonctionnent dans les huit pays de l’Uemoa, fait savoir le Coraf dans son communiqué. Ajoutant qu’environ 5 500 personnes ont interagi sur ces plateformes, ce qui représente 27 % des femmes.
A en croire le texte, le programme de recherche collaborative s’est terminé en décembre 2019 et a été subdivisé en trois projets à savoir l’Amélioration de l’accès au financement des acteurs du maillon commercialisation de la filière maïs (Amafine), la Valorisation des tiges de coton en panneaux de particules (Vaticopp) et la Valorisation des ressources génétiques animales et de l’aquaculture locale (Progeval).
Le PreFAP, selon le document, vise à contribuer à la mise en œuvre de la Politique agricole de l’Union (Pau). En ce sens « les huit pays de l’Uemoa ont tous bénéficié du projet ». Le Bénin, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire pour le projet Amafine. Le Bénin, le Mali et le Togo pour le projet Vaticopp. Et le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Niger et le Sénégal pour le projet Progeval.
Bassirou MBAYE
« 8546 ménages ont bénéficié directement du projet, dont 23% sont des femmes », confie le document. Qui ajoute que la plupart des technologies générées tout au long du projet ont été diffusées par le biais de plateformes d’innovation. Il s’agit, dit-on, de lieux d’échange, d’apprentissage, de partage et d’adoption informels de technologies, d’innovations et de meilleures pratiques agricoles entre les principaux acteurs de la chaîne alimentaire d’une communauté donnée.
Au total, quinze (15) plateformes d’innovation ont été créées et fonctionnent dans les huit pays de l’Uemoa, fait savoir le Coraf dans son communiqué. Ajoutant qu’environ 5 500 personnes ont interagi sur ces plateformes, ce qui représente 27 % des femmes.
A en croire le texte, le programme de recherche collaborative s’est terminé en décembre 2019 et a été subdivisé en trois projets à savoir l’Amélioration de l’accès au financement des acteurs du maillon commercialisation de la filière maïs (Amafine), la Valorisation des tiges de coton en panneaux de particules (Vaticopp) et la Valorisation des ressources génétiques animales et de l’aquaculture locale (Progeval).
Le PreFAP, selon le document, vise à contribuer à la mise en œuvre de la Politique agricole de l’Union (Pau). En ce sens « les huit pays de l’Uemoa ont tous bénéficié du projet ». Le Bénin, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire pour le projet Amafine. Le Bénin, le Mali et le Togo pour le projet Vaticopp. Et le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Niger et le Sénégal pour le projet Progeval.
Bassirou MBAYE