Selon l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd), cette évolution a été liée à l’augmentation de la valeur ajoutée du secteur secondaire (+3,0%) et celle du secteur primaire (+0,1%). Cependant, note l’Ansd, la progression a été atténuée par la contre-performance du secteur tertiaire (-0,1%) ainsi que la baisse des taxes nettes de subventions sur les produits en volume (-0,4%). En outre, le Pib hors hydrocarbure s’est bonifié de 0,5% et celui hors hydrocarbures et agriculture de 0,6%.
S’agissant des composantes de la demande réelle, les exportations et les importations de biens et services se sont repliées respectivement de 8,0% et 6,9% par rapport au trimestre précédent. En sus, il est noté un relèvement de la formation brute de capital fixe (+1,5%) et de la consommation finale globale (+1,6%).
Par rapport au troisième trimestre de l’année 2024, le Pib réel du troisième trimestre de 2025 s’est relevé de 4,2%. Cette augmentation s’explique par l’accroissement de la valeur ajoutée des activités des secteurs primaire (+7,3%), secondaire (+7,2%) et tertiaire (+2,4%) ainsi que des taxes nettes (+0,5%). Hors hydrocarbures (pétrole et gaz), la croissance s’établit à 1,8% en glissement annuel.
«Sous l’optique de la demande, l’activité économique réelle au troisième trimestre de 2025, comparée à la même période de l’année précédente, a été soutenue par le dynamisme des exportations (+11,6%), de la consommation finale (+3,3%) et de la formation brute de capitale fixe (+2,8%), en termes réels. En sus, une baisse des importations de biens et services de 3,9% est notée.
Le Pib nominal est estimé à 4 963,1 milliards de FCfa au troisième trimestre de 2025 », précise l’Ansd.
Adou FAYE
S’agissant des composantes de la demande réelle, les exportations et les importations de biens et services se sont repliées respectivement de 8,0% et 6,9% par rapport au trimestre précédent. En sus, il est noté un relèvement de la formation brute de capital fixe (+1,5%) et de la consommation finale globale (+1,6%).
Par rapport au troisième trimestre de l’année 2024, le Pib réel du troisième trimestre de 2025 s’est relevé de 4,2%. Cette augmentation s’explique par l’accroissement de la valeur ajoutée des activités des secteurs primaire (+7,3%), secondaire (+7,2%) et tertiaire (+2,4%) ainsi que des taxes nettes (+0,5%). Hors hydrocarbures (pétrole et gaz), la croissance s’établit à 1,8% en glissement annuel.
«Sous l’optique de la demande, l’activité économique réelle au troisième trimestre de 2025, comparée à la même période de l’année précédente, a été soutenue par le dynamisme des exportations (+11,6%), de la consommation finale (+3,3%) et de la formation brute de capitale fixe (+2,8%), en termes réels. En sus, une baisse des importations de biens et services de 3,9% est notée.
Le Pib nominal est estimé à 4 963,1 milliards de FCfa au troisième trimestre de 2025 », précise l’Ansd.
Adou FAYE


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