L'objectif, d’après le communiqué de l’Ugb, était de "démocratiser" l'embolisation qui est une modalité de traitement des hémorragies (saignements graves lors de l'accouchement chez les femmes, après un accident de circulation avec fracture du bassin...) de certaines tumeurs comme les cancers du foie.
Pour ce faire, le document indique que l'équipe de recherche constituée de français, canadiens, sénégalais et cambodgiens utilise des fils de sutures classique (moins coûteux) en lieu et place de microparticules (inaccessibles au niveau des pays en voie de développement) pour traiter les patients.
« Après une phase pré clinique, l'équipe sénégalaise dirigée par le professeur Abdoulaye Ndoye Diop de l'Ugb, devant une situation d'urgence où la vie d'une patiente était en jeu, a été la première au monde à utiliser avec succès ce concept de FairEmbo », informe la direction de la communication et du marketing de l’Ugb.
Bassirou MBAYE
Pour ce faire, le document indique que l'équipe de recherche constituée de français, canadiens, sénégalais et cambodgiens utilise des fils de sutures classique (moins coûteux) en lieu et place de microparticules (inaccessibles au niveau des pays en voie de développement) pour traiter les patients.
« Après une phase pré clinique, l'équipe sénégalaise dirigée par le professeur Abdoulaye Ndoye Diop de l'Ugb, devant une situation d'urgence où la vie d'une patiente était en jeu, a été la première au monde à utiliser avec succès ce concept de FairEmbo », informe la direction de la communication et du marketing de l’Ugb.
Bassirou MBAYE