Il s’agit d’un plan en trois phases jusqu'en 2050
Selon le Premier ministre, il y a la phase de redressement (2025–2029). Cette première étape, a-t-il expliqué, vise à stabiliser l’économie, assainir la gouvernance et rétablir la confiance entre l’État et les citoyens.
Ensuite, vient la phase d’impulsion (2029–2034). Elle a pour ambition de relancer les secteurs porteurs de croissance grâce à des réformes structurelles, l’industrialisation et l’innovation.
Enfin la phase d’accélération (2034–2050). Ousmane Sonko a indiqué qu’elle projette le Sénégal vers un développement soutenu, en misant sur le capital humain, la souveraineté économique et une meilleure intégration dans les chaînes de valeur mondiales.
Pour ce plan, le chef du gouvernement n’attend rien de l’extérieur. «Nous ne pouvons pas, 65 ans plus tard, continuer à attendre le salut de l’extérieur. L’Afrique doit évoluer et le Sénégal doit évoluer », a fait savoir Ousmane Sonko soutenant que le gouvernement n'attend rien du Fmi.
« Ce que nous présentons aujourd’hui, n’attend rien quasiment de personne, sinon du peuple sénégalais lui-même », a martelé le Premier ministre.
Adou Faye
Selon le Premier ministre, il y a la phase de redressement (2025–2029). Cette première étape, a-t-il expliqué, vise à stabiliser l’économie, assainir la gouvernance et rétablir la confiance entre l’État et les citoyens.
Ensuite, vient la phase d’impulsion (2029–2034). Elle a pour ambition de relancer les secteurs porteurs de croissance grâce à des réformes structurelles, l’industrialisation et l’innovation.
Enfin la phase d’accélération (2034–2050). Ousmane Sonko a indiqué qu’elle projette le Sénégal vers un développement soutenu, en misant sur le capital humain, la souveraineté économique et une meilleure intégration dans les chaînes de valeur mondiales.
Pour ce plan, le chef du gouvernement n’attend rien de l’extérieur. «Nous ne pouvons pas, 65 ans plus tard, continuer à attendre le salut de l’extérieur. L’Afrique doit évoluer et le Sénégal doit évoluer », a fait savoir Ousmane Sonko soutenant que le gouvernement n'attend rien du Fmi.
« Ce que nous présentons aujourd’hui, n’attend rien quasiment de personne, sinon du peuple sénégalais lui-même », a martelé le Premier ministre.
Adou Faye