
Le concept « Africapitalisme », inventé par le philanthrope nigérian vise l’objectif du développement économique du continent. A ce titre, il encourage les investissements par et au profit du secteur privé et des entrepreneurs africains dans des start-up dans les domaines socio-économiques pour un développement inclusif et durable.
Selon lui, il s’agit de rompre avec la logique d’assistanat en misant sur l’entreprenariat des Africains. Somachi Chris-Asoluka, la chargée de la Recherche à la Fondation Tony Ellumelu, a insisté sur le dividende démographique du continent comme une source de richesse, pour assurer un développement durable et inclusif du continent.
Cette philosophie révolutionnaire s’appuie sur le dynamisme des jeunes et des femmes pour transformer les économies africaines.
A travers la philosophie de l’africapitalisme, le problème du sous-emploi pourrait trouver une solution. C’est ainsi que le développement pourra être durable et inclusif.
Le terme d’africapitalimse ne signifie pas capitalisme dans son acception péjorative. Cela signifie pour son concepteur Tony Elumelu, un développement de l’entreprenariat par la création d’un secteur privé local fort et capable de profiter et faire profiter aux Africains des opportunités qu’offre le continent. Les femmes sont invitées à s’investir grandement dans l’entreprenariat. Seul 25 % d’entre elles s’activent déjà dans ce domaine.
Le créateur du concept d’africapitalisme déclare d’ailleurs sa foi en l’entreprenariat africains, en ces termes : « Les entrepreneurs africains changeront le visage de l’Afrique, créant ainsi une vague de business dynamiques, enrichissant leurs communautés et leurs pays, en étant des locomotives de la croissance économique à travers le contient tout entier. »
Amadou BA, Envoyé spécial à Lagos, Nigéria
Selon lui, il s’agit de rompre avec la logique d’assistanat en misant sur l’entreprenariat des Africains. Somachi Chris-Asoluka, la chargée de la Recherche à la Fondation Tony Ellumelu, a insisté sur le dividende démographique du continent comme une source de richesse, pour assurer un développement durable et inclusif du continent.
Cette philosophie révolutionnaire s’appuie sur le dynamisme des jeunes et des femmes pour transformer les économies africaines.
A travers la philosophie de l’africapitalisme, le problème du sous-emploi pourrait trouver une solution. C’est ainsi que le développement pourra être durable et inclusif.
Le terme d’africapitalimse ne signifie pas capitalisme dans son acception péjorative. Cela signifie pour son concepteur Tony Elumelu, un développement de l’entreprenariat par la création d’un secteur privé local fort et capable de profiter et faire profiter aux Africains des opportunités qu’offre le continent. Les femmes sont invitées à s’investir grandement dans l’entreprenariat. Seul 25 % d’entre elles s’activent déjà dans ce domaine.
Le créateur du concept d’africapitalisme déclare d’ailleurs sa foi en l’entreprenariat africains, en ces termes : « Les entrepreneurs africains changeront le visage de l’Afrique, créant ainsi une vague de business dynamiques, enrichissant leurs communautés et leurs pays, en étant des locomotives de la croissance économique à travers le contient tout entier. »
Amadou BA, Envoyé spécial à Lagos, Nigéria