
«D’emblée, il me plait d’affirmer que le secteur privé, considéré dans le cadre de l’agenda national de transformation Sénégal 2050 comme le moteur du développement économique de notre pays, renouvelle son engagement à jouer pleinement son rôle », a déclaré M. Lam.
A cet égard, a ajouté le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes), il demeure plus que jamais conscient de ses responsabilités de relever les défis organisationnels et structurels. Il a affirmé que le secteur privé, toutes sensibilités confondues, est essentiellement composé des grandes entreprises concentrées dans les télécommunications et services, l’industrie extractive et l’agro-alimentaire, les Btp, des Pme/Pmi du secteur informel dominé par le commerce, l’artisanat et les services de proximité. Il compte également en son sein les secteurs de l’énergie, du numérique, des hydrocarbures et des services financiers. D’autres secteurs comme la pêche, l’agriculture et l’élevage sont également recensés.
«Nous sommes conscients du rôle attendu de nos entreprises dans la transformation économique, la relance de l’investissement privé et la création d’emplois notamment pour les jeunes, dans une logique de parfaite inclusion.
A ce titre, nous souhaiterions développer une relation forte de confiance mutuelle entre le Gouvernement et le secteur privé afin de pouvoir décliner dans le cadre d’un dispositif permanent de dialogue et de concertations, notre capacité à mettre en œuvre les grands projets publics, et de bénéficier du soutien de l’Etat dans la réalisation de nos projets privés », a fait savoir Adama Lam.
Selon M. Lam, le secteur privé réaffirme sa pleine conscience des défis majeurs auxquels notre pays est confronté, caractérisés entre autres par un environnement international extrêmement difficile qui impacte notre pays.
Pour toutes ces raisons, il souhaite que le secteur privé soit associé aux réflexions en cours. Il propose l’élargissement de l’assiette fiscale et plus d’équité fiscale pour tous ; la mise en place de mécanismes de règlement à l‘amiable des contentieux fiscaux et douaniers ainsi que l’institution d’une Commission paritaire Etat/Secteur privé de règlement consensuel des différends sous la présidence de la primature ; la restauration au niveau de l’Apix du groupe de travail sur les réformes de l’environnement des entreprises.
Adama Lam se dit conscient que l’unification des voix du secteur privé est devenue une nécessité si nous voulons un appui efficace de l’Etat et une meilleure considération. «Dans cet esprit, nous avons entamé des concertations pour créer un cadre fédérateur devant se concerter régulièrement sur les questions afférentes au secteur privé.
Le secteur privé national reste ouvert à l’investissement direct étranger (Ide) mais est convaincu que le privé national doit être le réceptacle naturel des initiatives privées étrangères sous la coordination du Gouvernement », a dit le porte-parole du patronat.
Adou Faye
A cet égard, a ajouté le président de la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes), il demeure plus que jamais conscient de ses responsabilités de relever les défis organisationnels et structurels. Il a affirmé que le secteur privé, toutes sensibilités confondues, est essentiellement composé des grandes entreprises concentrées dans les télécommunications et services, l’industrie extractive et l’agro-alimentaire, les Btp, des Pme/Pmi du secteur informel dominé par le commerce, l’artisanat et les services de proximité. Il compte également en son sein les secteurs de l’énergie, du numérique, des hydrocarbures et des services financiers. D’autres secteurs comme la pêche, l’agriculture et l’élevage sont également recensés.
«Nous sommes conscients du rôle attendu de nos entreprises dans la transformation économique, la relance de l’investissement privé et la création d’emplois notamment pour les jeunes, dans une logique de parfaite inclusion.
A ce titre, nous souhaiterions développer une relation forte de confiance mutuelle entre le Gouvernement et le secteur privé afin de pouvoir décliner dans le cadre d’un dispositif permanent de dialogue et de concertations, notre capacité à mettre en œuvre les grands projets publics, et de bénéficier du soutien de l’Etat dans la réalisation de nos projets privés », a fait savoir Adama Lam.
Selon M. Lam, le secteur privé réaffirme sa pleine conscience des défis majeurs auxquels notre pays est confronté, caractérisés entre autres par un environnement international extrêmement difficile qui impacte notre pays.
Pour toutes ces raisons, il souhaite que le secteur privé soit associé aux réflexions en cours. Il propose l’élargissement de l’assiette fiscale et plus d’équité fiscale pour tous ; la mise en place de mécanismes de règlement à l‘amiable des contentieux fiscaux et douaniers ainsi que l’institution d’une Commission paritaire Etat/Secteur privé de règlement consensuel des différends sous la présidence de la primature ; la restauration au niveau de l’Apix du groupe de travail sur les réformes de l’environnement des entreprises.
Adama Lam se dit conscient que l’unification des voix du secteur privé est devenue une nécessité si nous voulons un appui efficace de l’Etat et une meilleure considération. «Dans cet esprit, nous avons entamé des concertations pour créer un cadre fédérateur devant se concerter régulièrement sur les questions afférentes au secteur privé.
Le secteur privé national reste ouvert à l’investissement direct étranger (Ide) mais est convaincu que le privé national doit être le réceptacle naturel des initiatives privées étrangères sous la coordination du Gouvernement », a dit le porte-parole du patronat.
Adou Faye