Pour accompagner les jeunes entrepreneurs dans la gestion de leurs finances et de leurs dettes, l’Observatoire de la qualité des services financiers (Oqsf) et le Programme sénégalais pour l’entreprenariat des jeunes (Psej) ont paraphé, hier, un accord de partenariat.
Au fait, selon le secrétaire de l’Oqsf, le Psej joue le rôle d’interface entre l’université et l’entreprise. Ceci en accompagnant tous les entrepreneurs, tout individu qui a une idée de projet, par une sélection ‘’rigoureuse’’ et un accompagnement aussi bien technique que financier. ‘’Nous, notre mission, c’est d’être l’interface entre les institutions financières que sont les banques, les compagnies d’assurances, les systèmes financiers décentralisés (Sfd) et les populations’’, explique Habib Ndao.
Ce dernier préconise l’insertion, dans les curricula des étudiants et même au préscolaire, des programmes d’éducation financière destinés aux apprenants titulaires d’idées de projet qui seront coachés sous forme de mentor ou de tutorat par le Psej.
En effet, le secrétaire de l’Oqsf précise que l’éducation financière permet de lutter contre le gaspillage, pour une bonne gestion des fonds. Et en même temps de saisir les opportunités que présente la collaboration avec un entrepreneur potentiel avec les institutions financières, celles de travailler avec une banque ou de souscrire à une police d’assurance.
‘’Ce qui fait que tous les porteurs de projet doivent nécessairement avoir une éducation financière. Parce que l’université ne dispense pas de cours d’éducation financière et l’Oqsf, en partenariat avec le Psej, s’occupe de l’éducation financière de masse. Nous allons ainsi déployer l’aspect bureau d’études, centre de formation, et le Psej va mettre à notre disposition l’infrastructure et les apprenants, les futurs entrepreneurs’’, dit M. Ndao.
D’après lui, leur objectif, c’est d’injecter dans l’esprit des jeunes entrepreneurs la notion de gestion financière, les pratiques bancaires. Ceci pour leur permettre de renforcer leurs capacités dans le domaine de la comptabilité, de la rédaction des business plans et même de pouvoir lever des fonds. Et aussi d’utiliser, à bon-escient, les fonds qu’ils vont collecter auprès des institutions financières.
Au fait, selon le secrétaire de l’Oqsf, le Psej joue le rôle d’interface entre l’université et l’entreprise. Ceci en accompagnant tous les entrepreneurs, tout individu qui a une idée de projet, par une sélection ‘’rigoureuse’’ et un accompagnement aussi bien technique que financier. ‘’Nous, notre mission, c’est d’être l’interface entre les institutions financières que sont les banques, les compagnies d’assurances, les systèmes financiers décentralisés (Sfd) et les populations’’, explique Habib Ndao.
Ce dernier préconise l’insertion, dans les curricula des étudiants et même au préscolaire, des programmes d’éducation financière destinés aux apprenants titulaires d’idées de projet qui seront coachés sous forme de mentor ou de tutorat par le Psej.
En effet, le secrétaire de l’Oqsf précise que l’éducation financière permet de lutter contre le gaspillage, pour une bonne gestion des fonds. Et en même temps de saisir les opportunités que présente la collaboration avec un entrepreneur potentiel avec les institutions financières, celles de travailler avec une banque ou de souscrire à une police d’assurance.
‘’Ce qui fait que tous les porteurs de projet doivent nécessairement avoir une éducation financière. Parce que l’université ne dispense pas de cours d’éducation financière et l’Oqsf, en partenariat avec le Psej, s’occupe de l’éducation financière de masse. Nous allons ainsi déployer l’aspect bureau d’études, centre de formation, et le Psej va mettre à notre disposition l’infrastructure et les apprenants, les futurs entrepreneurs’’, dit M. Ndao.
D’après lui, leur objectif, c’est d’injecter dans l’esprit des jeunes entrepreneurs la notion de gestion financière, les pratiques bancaires. Ceci pour leur permettre de renforcer leurs capacités dans le domaine de la comptabilité, de la rédaction des business plans et même de pouvoir lever des fonds. Et aussi d’utiliser, à bon-escient, les fonds qu’ils vont collecter auprès des institutions financières.
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