chroniques
Avec sa confirmation par le MSCI FRONTIER MARKETS INDEX, l’indice boursier qui mesure la performance des marchés boursiers de pays économiquement développés, la BRVM rejoint ainsi le club fermé des six bourses africaines suivies par les investisseurs. Ce dont se félicite son directeur général, M. Edoh Kossi, venu présider les « Journées de la bourse », organisées par son institution à Dakar, au Sénégal. « La BRVM se réjouit de son entrée dans le club select des six Bourses africaines qui sont visibles sur les radars des investisseurs qui cherchent à placer leurs ressources dans des marchés à forte rentabilité et à fort potentiel de croissance et dont certaines valeurs cotées offrent une liquidité suffisante pour les attirer ».
Cette performance a été rendue possible, notamment, par le passage de la cotation fixe à la cotation continue. Pari gagnant, puisque la BRVM est passée de 193 milliards de francs CFA en valeurs de transactions, en 2013, à 344 milliards de francs CFA, en 2016. De plus, selon M. Kossi, si la BRVM fait l’objet d’une attraction de la part des investisseurs, « c’est qu’elle met en œuvre des politiques de promotion, comme le Fonds de bourse. » Ne comptant pas s’arrêter en si bon chemin, le patron de la BRVM explique que son ambition est de « faire partie des bourses émergentes, à l’instar de l’Afrique du Sud et de l’Egypte. » Pour M. Kossi « cela passera par le concours des Sociétés de gestion et d’intermédiation et le soutien des Etats de la zone UEMOA. »
Après vingt ans d’existence, quarante et une sociétés sont cotées à la BRVM, pour une capitalisation de près de 7 500 milliards de francs CFA, soit 14,42 % du PIB de l’UEMOA, au 31 décembre 2015. Ce qui la classe à la tête des bourses africaines, avec une performance de 17,77 % de son indice composite, et parmi l’une des meilleures performances mondiales devant les bourses de Frankfort, Shanghai ou en encore Paris.
Amadou BA
Cette performance a été rendue possible, notamment, par le passage de la cotation fixe à la cotation continue. Pari gagnant, puisque la BRVM est passée de 193 milliards de francs CFA en valeurs de transactions, en 2013, à 344 milliards de francs CFA, en 2016. De plus, selon M. Kossi, si la BRVM fait l’objet d’une attraction de la part des investisseurs, « c’est qu’elle met en œuvre des politiques de promotion, comme le Fonds de bourse. » Ne comptant pas s’arrêter en si bon chemin, le patron de la BRVM explique que son ambition est de « faire partie des bourses émergentes, à l’instar de l’Afrique du Sud et de l’Egypte. » Pour M. Kossi « cela passera par le concours des Sociétés de gestion et d’intermédiation et le soutien des Etats de la zone UEMOA. »
Après vingt ans d’existence, quarante et une sociétés sont cotées à la BRVM, pour une capitalisation de près de 7 500 milliards de francs CFA, soit 14,42 % du PIB de l’UEMOA, au 31 décembre 2015. Ce qui la classe à la tête des bourses africaines, avec une performance de 17,77 % de son indice composite, et parmi l’une des meilleures performances mondiales devant les bourses de Frankfort, Shanghai ou en encore Paris.
Amadou BA
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