L’ambition clairement affichée par les responsables ivoiriens est de faire de la nation ivoirienne un pôle d’exportation d’huile de palme à destination des pays de la sous-région. Pour y parvenir, ils entendent développer des approches innovantes comme l’exploitation des bas-fonds ou l’alliance du palmier à huile avec d’autres cultures, selon l’AIP.
Dans le secteur de la transformation, il sera procédé à l’installation d’huileries qui seront liées par un partenariat avec les planteurs. Ces derniers bénéficieront de l’appui de l’usine pour lancer leurs activités et lui livreront en retour leur production. L’huilerie déduira progressivement son financement au planteur du prix d’achat de la matière première.
En Côte d’Ivoire, la production d’huile de palme est de 450 000 tonnes dont 2/3 sont destinées à satisfaire la demande locale. Les superficies consacrées à la culture sont de 255 000 hectares.
Ecofin
Dans le secteur de la transformation, il sera procédé à l’installation d’huileries qui seront liées par un partenariat avec les planteurs. Ces derniers bénéficieront de l’appui de l’usine pour lancer leurs activités et lui livreront en retour leur production. L’huilerie déduira progressivement son financement au planteur du prix d’achat de la matière première.
En Côte d’Ivoire, la production d’huile de palme est de 450 000 tonnes dont 2/3 sont destinées à satisfaire la demande locale. Les superficies consacrées à la culture sont de 255 000 hectares.
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