chroniques
Mme Rokhaya Saba Diène, directrice de la Prospection et de la promotion minière
La publication récente du rapport ITIE 2014 relève une très forte contribution du secteur au budget de l’Etat. Le secteur minier contribue pour 101 milliards de francs CFA, soit 92 % du totale des recettes fournies par le secteur extractif.
Selon Mme Rokhaya Saba Diène, la directrice de la Prospection et de la promotion minière, ces performances ne pourraient être réalisées sans la bonne politique minière élaborée par les autorités. Les réformes introduites, fruit des réflexions produites durant trois ans, ont donné naissance au nouveau Code, adopté par l’Assemblée le 30 octobre 2016.
Mme Diène de citer, pêle-mêle, quelques réalisations dans le secteur minier. « Divers arrêtés ont également été pris pour mieux organiser le secteur de l’orpaillage. Il y a eu, la relance du projet des « Mines de fer de la Falémé » , avec la signature en mai 2015 d’un protocole entre l’Etat du Sénégal et un consortium sud africain. » Pour son suivi, le comité de pilotage se réunira, d’ailleurs, la fin de ce mois de novembre, en Afrique du Sud, pour la seconde fois, après la rencontre, à Dakar, le 20 octobre dernier. Des comités de pilote sont également institués pour le suivi des objectifs fixés pour les projets zircon, phosphates et fertilisants, or, mines artisanales. Ces résultats n’ont cependant pu être atteints sans une politique articulée à la transparence, a également ajouté la directrice de la Prospection et de la promotion minières, évoquant le processus d’adhésion de notre pays à l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE).
Mme Diène s’exprimait, lors de l’édition 2016 du Salon des mines dont le thème était : Le secteur minier, un levier de développement territorial ».
Amadou BA
Selon Mme Rokhaya Saba Diène, la directrice de la Prospection et de la promotion minière, ces performances ne pourraient être réalisées sans la bonne politique minière élaborée par les autorités. Les réformes introduites, fruit des réflexions produites durant trois ans, ont donné naissance au nouveau Code, adopté par l’Assemblée le 30 octobre 2016.
Mme Diène de citer, pêle-mêle, quelques réalisations dans le secteur minier. « Divers arrêtés ont également été pris pour mieux organiser le secteur de l’orpaillage. Il y a eu, la relance du projet des « Mines de fer de la Falémé » , avec la signature en mai 2015 d’un protocole entre l’Etat du Sénégal et un consortium sud africain. » Pour son suivi, le comité de pilotage se réunira, d’ailleurs, la fin de ce mois de novembre, en Afrique du Sud, pour la seconde fois, après la rencontre, à Dakar, le 20 octobre dernier. Des comités de pilote sont également institués pour le suivi des objectifs fixés pour les projets zircon, phosphates et fertilisants, or, mines artisanales. Ces résultats n’ont cependant pu être atteints sans une politique articulée à la transparence, a également ajouté la directrice de la Prospection et de la promotion minières, évoquant le processus d’adhésion de notre pays à l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE).
Mme Diène s’exprimait, lors de l’édition 2016 du Salon des mines dont le thème était : Le secteur minier, un levier de développement territorial ».
Amadou BA
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