chroniques
Lors de la cérémonie d’ouverture des travaux, le ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage, Mabouba Diagne, a appelé à professionnaliser la filière horticole.
«Il nous faut aller rapidement vers une professionnalisation du secteur horticole pour en faire un véritable levier de souveraineté alimentaire », a déclaré M. Diagne. Il a souligné que les importations de fruits et légumes au Sénégal dépassent les 347 000 tonnes, pour plus de 70 milliards de FCfa, soutenant que ce sont autant d’emplois que nous exportons.
Selon le ministre de l’Agriculture, la vision du gouvernement va au-delà de l’autosuffisance et vise la souveraineté alimentaire. «Nous ne pouvons y parvenir si nous n’avons pas une souveraineté en semences, si nous ne maîtrisons pas les charges de production et si nous ne formalisons pas les petits producteurs », a dit le ministre.
Mabouba Diagne d’évoquer les difficultés de la filière notamment le coût de l’énergie, les pertes post-récoltes, la maitrise de l’eau.
Le stockage des produits préoccupe également le ministre. Il a indiqué que pendant 65 ans, nous n’avons pas réglé l’équation des structures de stockage. C’est dans ce cadre qu’il a annoncé la construction de de hangars frigorifiques d’une capacité de plus de 18 000 tonnes dans les 24 prochains mois.
Adou Faye
«Il nous faut aller rapidement vers une professionnalisation du secteur horticole pour en faire un véritable levier de souveraineté alimentaire », a déclaré M. Diagne. Il a souligné que les importations de fruits et légumes au Sénégal dépassent les 347 000 tonnes, pour plus de 70 milliards de FCfa, soutenant que ce sont autant d’emplois que nous exportons.
Selon le ministre de l’Agriculture, la vision du gouvernement va au-delà de l’autosuffisance et vise la souveraineté alimentaire. «Nous ne pouvons y parvenir si nous n’avons pas une souveraineté en semences, si nous ne maîtrisons pas les charges de production et si nous ne formalisons pas les petits producteurs », a dit le ministre.
Mabouba Diagne d’évoquer les difficultés de la filière notamment le coût de l’énergie, les pertes post-récoltes, la maitrise de l’eau.
Le stockage des produits préoccupe également le ministre. Il a indiqué que pendant 65 ans, nous n’avons pas réglé l’équation des structures de stockage. C’est dans ce cadre qu’il a annoncé la construction de de hangars frigorifiques d’une capacité de plus de 18 000 tonnes dans les 24 prochains mois.
Adou Faye
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