Ce résultat est imputable, principalement, à la bonne tenue de l’activité dans le primaire (2,2%) et dans une moindre mesure à la bonne orientation du secteur secondaire (1,8%). Au même moment, la valeur ajoutée du secteur tertiaire s’est relevée de 1,4%.
Quant aux taxes nettes de subventions sur les produits, l’Ansd explique qu’elles ont progressé de 2,4% sur la période sous-revue. La bonne tenue de l’activité dans le secteur primaire est attribuable à une hausse de la valeur ajoutée dans les sous-secteurs de la pêche (+11,0%) et de l’agriculture (+2,3%).
Il a également été constaté une croissance de l’activité dans le sous-secteur de la sylviculture (+2,1%). Toutefois, cette dynamique du secteur a été amoindrie par la baisse de la valeur ajoutée de l’élevage et chasse de 0,8%.
Par rapport au quatrième trimestre de 2017, la valeur ajoutée du secteur primaire, en volume, a progressé de 8,7%. Ce résultat est expliqué par la performance de la pêche (+11,9%), de l’agriculture (+10,1%), de l’élevage (+4,0%) et de la sylviculture (+9,0%).
La progression de l’activité dans le secteur secondaire est le fait des performances relativement modestes des activités de construction (+2,6%) et de fabrication de produits manufacturières (+3,5%). A cela s’ajoute le fléchissement de la valeur ajoutée des industries extractives (-0,9%) et des activités chimiques (-1,6%).
En glissement annuel, l’activité du secteur secondaire s’est accrue de 6,5% au quatrième trimestre de 2018 en liaison avec une bonne tenue de l’ensemble des sous-secteurs, à l’exception des activités chimiques. Particulièrement, il s’agit des activités de construction (+9,7%) et de fabrication de produits agroalimentaires (+8,9%).
La croissance du tertiaire est en liaison avec la bonne orientation du sous-secteur des activités financières et d’assurance (+7,3%), des activités immobilières (+6,6%) et du commerce (+2,5%).
Adou FAYE
Quant aux taxes nettes de subventions sur les produits, l’Ansd explique qu’elles ont progressé de 2,4% sur la période sous-revue. La bonne tenue de l’activité dans le secteur primaire est attribuable à une hausse de la valeur ajoutée dans les sous-secteurs de la pêche (+11,0%) et de l’agriculture (+2,3%).
Il a également été constaté une croissance de l’activité dans le sous-secteur de la sylviculture (+2,1%). Toutefois, cette dynamique du secteur a été amoindrie par la baisse de la valeur ajoutée de l’élevage et chasse de 0,8%.
Par rapport au quatrième trimestre de 2017, la valeur ajoutée du secteur primaire, en volume, a progressé de 8,7%. Ce résultat est expliqué par la performance de la pêche (+11,9%), de l’agriculture (+10,1%), de l’élevage (+4,0%) et de la sylviculture (+9,0%).
La progression de l’activité dans le secteur secondaire est le fait des performances relativement modestes des activités de construction (+2,6%) et de fabrication de produits manufacturières (+3,5%). A cela s’ajoute le fléchissement de la valeur ajoutée des industries extractives (-0,9%) et des activités chimiques (-1,6%).
En glissement annuel, l’activité du secteur secondaire s’est accrue de 6,5% au quatrième trimestre de 2018 en liaison avec une bonne tenue de l’ensemble des sous-secteurs, à l’exception des activités chimiques. Particulièrement, il s’agit des activités de construction (+9,7%) et de fabrication de produits agroalimentaires (+8,9%).
La croissance du tertiaire est en liaison avec la bonne orientation du sous-secteur des activités financières et d’assurance (+7,3%), des activités immobilières (+6,6%) et du commerce (+2,5%).
Adou FAYE