Dakar a abrité un atelier sur « Amélioration des systèmes de suivi et d’évaluation des projets du portefeuille de la Banque dans le cadre du programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire(Gafsp) ». Hatem Fellah de la Banque africaine de développement a salué les performances obtenues par le projet PASA LouMaKaf.
Dans son discours, il a rappelé que l’objectif de cet atelier est de renforcer les capacités des coordinateurs de projets , des responsables en suivi et évaluation et des chargés de projets du Gafsp , à collecter et communiquer de manière adéquate les données relatives aux résultats afin d’améliorer le rapportage des projets , en vue d’une meilleure notation du portefeuille.
Il nous permettra d’échanger sur les défis rencontrés, de tirer les leçons et de partager les expériences en matière de suivi d’évaluation.
Il a indiqué que le programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire (Gafsp) vise à améliorer les revenus et la sécurité alimentaire des populations pauvres dans les pays en voie de développement en augmentant le volume et la qualité des investissements réalisés dans les secteurs public et privé. Ces investissements visent à accroitre la productivité agricole, faciliter l’accès des petits agriculteurs aux marchés, réduire les risques et la vulnérabilité et rehausser les revenus non agricoles des populations rurales, ainsi qu’en fournissant une assistance technique, par la consolidation des institutions et le renforcement des capacités.
«A travers ce fonds, la Banque africaine de développement accompagne actuellement 10 Pays africains dont le Sénégal à travers le Projet d’Appui à la Sécurité Alimentaire dans les régions de Louga, Matam et Kaffrine, pour un montant total de 320,8 millions de dollars soit environ 28% du guichet Gafsp pour le secteur public », a déclaré M. Fellah.
«Malgré le dispositif de suivi et de supervision, les évaluations de la performance des projets Gafsp de la Banque sont largement insuffisantes. La dernière revue du portefeuille à Nairobi a révélé des faibles performances et un seul projet , le PASA LouMaKaf, a été évalué satisfaisant », a-t-il relevé. Il a souligné que cette appréciation s’est basée sur l’état d’avancement actuel du projet, qui permettra, avec une probabilité de plus de 80%, d’atteindre les résultats attendus et les objectifs de développement qui lui sont assignés sans retards significatifs. Il a saisi cette occasion pour féliciter le Sénégal pour les résultats atteints à ce jour par le PASA LouMaKaf
Prenant la parole, Dogo Seck, secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural a salué l’organisation de cet atelier à Dakar au Sénégal. Ce qui à son avis, est aussi une parfaite illustration de la qualité du partenariat que le Sénégal a noué avec la Bad et le Gafsp, pour mettre en œuvre des projets financés ou cofinancés par le Gafsp pour renforcer la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté des couches et dans les zones les plus vulnérables.
Au Sénégal dira –t- il, le GAFSP finance deux projets pour un montant total d’environ 100 millions de dollars US. Il s’agit du PASA LouMaKaf au niveau du guichet public et d’un autre projet, au niveau du guichet manquant qui vient de démarrer. Ces deux projets progressent bien.
Amadou Idrissa Dia
Dans son discours, il a rappelé que l’objectif de cet atelier est de renforcer les capacités des coordinateurs de projets , des responsables en suivi et évaluation et des chargés de projets du Gafsp , à collecter et communiquer de manière adéquate les données relatives aux résultats afin d’améliorer le rapportage des projets , en vue d’une meilleure notation du portefeuille.
Il nous permettra d’échanger sur les défis rencontrés, de tirer les leçons et de partager les expériences en matière de suivi d’évaluation.
Il a indiqué que le programme mondial pour l’agriculture et la sécurité alimentaire (Gafsp) vise à améliorer les revenus et la sécurité alimentaire des populations pauvres dans les pays en voie de développement en augmentant le volume et la qualité des investissements réalisés dans les secteurs public et privé. Ces investissements visent à accroitre la productivité agricole, faciliter l’accès des petits agriculteurs aux marchés, réduire les risques et la vulnérabilité et rehausser les revenus non agricoles des populations rurales, ainsi qu’en fournissant une assistance technique, par la consolidation des institutions et le renforcement des capacités.
«A travers ce fonds, la Banque africaine de développement accompagne actuellement 10 Pays africains dont le Sénégal à travers le Projet d’Appui à la Sécurité Alimentaire dans les régions de Louga, Matam et Kaffrine, pour un montant total de 320,8 millions de dollars soit environ 28% du guichet Gafsp pour le secteur public », a déclaré M. Fellah.
«Malgré le dispositif de suivi et de supervision, les évaluations de la performance des projets Gafsp de la Banque sont largement insuffisantes. La dernière revue du portefeuille à Nairobi a révélé des faibles performances et un seul projet , le PASA LouMaKaf, a été évalué satisfaisant », a-t-il relevé. Il a souligné que cette appréciation s’est basée sur l’état d’avancement actuel du projet, qui permettra, avec une probabilité de plus de 80%, d’atteindre les résultats attendus et les objectifs de développement qui lui sont assignés sans retards significatifs. Il a saisi cette occasion pour féliciter le Sénégal pour les résultats atteints à ce jour par le PASA LouMaKaf
Prenant la parole, Dogo Seck, secrétaire général du ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural a salué l’organisation de cet atelier à Dakar au Sénégal. Ce qui à son avis, est aussi une parfaite illustration de la qualité du partenariat que le Sénégal a noué avec la Bad et le Gafsp, pour mettre en œuvre des projets financés ou cofinancés par le Gafsp pour renforcer la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté des couches et dans les zones les plus vulnérables.
Au Sénégal dira –t- il, le GAFSP finance deux projets pour un montant total d’environ 100 millions de dollars US. Il s’agit du PASA LouMaKaf au niveau du guichet public et d’un autre projet, au niveau du guichet manquant qui vient de démarrer. Ces deux projets progressent bien.
Amadou Idrissa Dia