
La rencontre virtuelle qui s’est tenue hier matin, a été l’occasion, pour les organisateurs, de rappeler que l’un des objectifs clés de cette conférence est de créer une plateforme qui va pouvoir promouvoir les investissements en Afrique de l’Ouest et bien entendu encourager la collaboration entre les pays anglophones et francophones.
Pour un peu passer en revue la situation dans la région, il a été indiqué que la bourse au Ghana a réussi à se relever de 40% cette année déjà et que le marché nigérian lui, reste dans la zone rouge bien qu’il y ait une augmentation de plus de 40% dans les prix. Cela, confie-t-on, dévoile les défis assez uniques dans les économies individuelles en Afrique de l’Ouest.
Dans la foulée, la conférence a permis de montrer que bien que la demande domestique et les exportations aient pu relancer l’économie au niveau de l’Uemoa, « il y a bien entendu des inquiétudes de l’économie nigériane qui est l’une des plus solides en Afrique de l’Ouest ».
Par ailleurs, l’on souligne que l’une des missions des marchés des capitaux africains est d’aider les investisseurs à lever des fonds. Cependant, « pour pouvoir y arriver, ces marchés ont besoin de faire face à des défis notamment liés la liquidité, les chiffres très faibles des compagnies listées en bourse, l’accès des Petites et moyennes entreprises (Pme) aux marchés des capitaux…
Face à cette situation, il est indiqué qu’il y a un certain nombre de solutions possibles. A cet effet, le directeur général adjoint du DC/BR (Dépositaire Central / Banque de Règlement) cite l’augmentation de la demande pour les titres du marché et celle de l’offre, la mise en place de mesures multidisciplinaires, l’intégration sur le marché des capitaux, la création de nouveaux marchés pour les Pme et de nouveaux instruments de financements pour attirer les investisseurs.
En intégrant les compagnies cotées en bourses aux marchés, Birahim Diouf, soutient dans la foulée que « nous aurons une meilleure visibilité, un accès à plus de ressources financières et à différents instruments de financiers ».
Birahim Diouf insiste sur le fait que nos marchés font face à différents défis : de liquidité, d’accès difficile, d’une faible attraction des investisseurs institutionnels et étrangers etc. Mais, pour lui, tout n’est pas noir. En effet, il rappelle que l’augmentation au niveau de l’offre et la demande de titres des différentes actions et des mesures multidisciplinaires , peuvent aider à faire face à ces défis et à construire un marché des capitaux plus solide.
Bassirou MBAYE
Pour un peu passer en revue la situation dans la région, il a été indiqué que la bourse au Ghana a réussi à se relever de 40% cette année déjà et que le marché nigérian lui, reste dans la zone rouge bien qu’il y ait une augmentation de plus de 40% dans les prix. Cela, confie-t-on, dévoile les défis assez uniques dans les économies individuelles en Afrique de l’Ouest.
Dans la foulée, la conférence a permis de montrer que bien que la demande domestique et les exportations aient pu relancer l’économie au niveau de l’Uemoa, « il y a bien entendu des inquiétudes de l’économie nigériane qui est l’une des plus solides en Afrique de l’Ouest ».
Par ailleurs, l’on souligne que l’une des missions des marchés des capitaux africains est d’aider les investisseurs à lever des fonds. Cependant, « pour pouvoir y arriver, ces marchés ont besoin de faire face à des défis notamment liés la liquidité, les chiffres très faibles des compagnies listées en bourse, l’accès des Petites et moyennes entreprises (Pme) aux marchés des capitaux…
Face à cette situation, il est indiqué qu’il y a un certain nombre de solutions possibles. A cet effet, le directeur général adjoint du DC/BR (Dépositaire Central / Banque de Règlement) cite l’augmentation de la demande pour les titres du marché et celle de l’offre, la mise en place de mesures multidisciplinaires, l’intégration sur le marché des capitaux, la création de nouveaux marchés pour les Pme et de nouveaux instruments de financements pour attirer les investisseurs.
En intégrant les compagnies cotées en bourses aux marchés, Birahim Diouf, soutient dans la foulée que « nous aurons une meilleure visibilité, un accès à plus de ressources financières et à différents instruments de financiers ».
Birahim Diouf insiste sur le fait que nos marchés font face à différents défis : de liquidité, d’accès difficile, d’une faible attraction des investisseurs institutionnels et étrangers etc. Mais, pour lui, tout n’est pas noir. En effet, il rappelle que l’augmentation au niveau de l’offre et la demande de titres des différentes actions et des mesures multidisciplinaires , peuvent aider à faire face à ces défis et à construire un marché des capitaux plus solide.
Bassirou MBAYE